Depuis ce jeudi, la filiation du HTC One est officiellement assurée : le smartphone phare du fabricant télécoms taïwanais est décliné en une version « mini ».
Celle-ci reprend, dans un plus petit format (4,3 pouces au lieu de 4,7) et pour un plus petit prix (449 euros TTC au lieu de 629), les principaux traits de son aînée, avec une offre d’ensemble orientée sur l’image et le son.
Revue de fond en comble dans sa version 5.0, la surcouche Sense appliquée à Android 4.2 rappelle fortement Windows Phone.
Agrémentée de BlinkFeed, elle affiche sur son écran d’accueil des vignettes dynamiques qui agrègent les flux d’information depuis les réseaux sociaux et quelque 1400 sources d’actualité.
L’application Sense TV qui lui est greffée reconvertit le One mini en guide interactif de programmes et télécommande de téléviseur.
Autre atout revendiqué de HTC, la photographie n’échappe pas à l’innovation, qui se traduit par la fonctionnalité Zoé (capture simultanée d’une vingtaine de vues et d’une vidéo de 3 secondes) et une ouverture à f/2.0 de l’objectif grand-angle de 28 mm.
Le tout assuré par un capteur de 4,3 millions « d’ultrapixels », repris du One et capable de disposer les trois pixels de couleur sur autant de couches ensuite recombinées « intelligemment » pour former une image de près de 13 millions de points.
Il s’agit d’une technologie apparentée à celle que Nokia implémente sur certains de ses smartphones Lumia et PureView.
Si le modèle original et sa déclinaison « mini » entretiennent de nombreuses similitudes, il subsiste un différentiel technologique.
En premier lieu, l’écran, qui perd en surface et surtout en résolution : 4,3 pouces en 1280 x 720 points (soit 341 ppp), contre 4,7 pouces en Full HD 1080p pour le One (468 ppp).
Quant au processeur, il est amputé de deux coeurs : exit le SoC Qualcomm Snapdragon 600 quadricoeur, auquel se se substitue un Snapdragon 400 bicoeur.
Les 25 Go de stockage en ligne offerts pendant deux ans sur Dropbox sont reconduits. Ce n’est pas de trop, les configurations à 32 et 64 Go de mémoire interne ne concernant le One mini, qui doit par ailleurs se contenter de 1 Go de RAM.
Un autre élément passe à la trappe : la 4G.
Wi-Fi, Bluetooth 4.0 et NFC sont en revanche conservés, tout comme ce châssis d’aluminium qui porte le One mini à 122 g sur la balance, contre 143 g pour son prédécesseur.
Ultime concession technologique, la batterie, dont la capacité est rabotée de 2300 à 1800 mAh, pour un smartphone positionné « en entrée du haut de gamme » et attendu sur le marché français en septembre, y compris chez la plupart des opérateurs.
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Crédit photos : HTC
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