Opérateur mobile dominant au Japon, NTT DoCoMo annonce la création d’ici mars 2012 d’une co-entreprise pour élaborer des puces 4G.
La constitution d’une telle société impliquera des fondeurs tiers dans le cadre d’un exercice de sous-traitance.
Outre le fabricant high-tech coréen Samsung, des discussions ont été entamées avec des firmes japonaises comme Fujitsu, Panasonic et NEC.
De quoi faire de l’ombre à l’américain Qualcomm, durablement installé, avec ses processeurs SnapDragon, aux sommets du marché des composants pour terminaux mobiles ?
Fruits prétendus de cette contre-attaque groupée : des SoC (System-on-a-Chip) mis à disposition des constructeurs qui souhaiteraient les implémenter, à des tarifs préférentiels, dans la prochaine génération de leurs smartphones.
Comme le suggère Silicon.fr, les intérêts des uns et des autres convergent en l’émergence de l’Internet mobile et plus généralement du très haut débit.
Matérialisée dans un premier temps par la constitution imminente de l’embryon Communication Platform Planning (une question de semaines et d’une dotation de 4,4 millions d’euros), une telle entreprise permettra à NTT DoCoMo d’initier une généralisation de son offre 4G.
Pour Samsung, c’est l’occasion de mettre sur de bons rails le très attendu SoC Exynos et son double coeur à 2 GHz.
Outre Qualcomm et cette nouvelle joint venture en cours de gestation au Japon, d’autres acteurs dans le domaine des SoC à architecture ARM intégrant le modem 4G pourraient s’inscruster.
En mai 2011, Nvidia a fait l’acquisition d’Icera, une société spécialisée dans les modems 3G et 4G.
ST-Ericsson a également intégré son modem Thor dans son SoC Nova avec le NovaThor (il équipera les prochaines générations de Windows Phones Nokia) et devrait lui associer prochainement la 4G LTE.
Quant à Intel, grâce à l’acquisition d’Infineon Wireless Solutions, sa deuxième génération de SoC Atom à architecture Medfield pourrait intégrer la partie modem (mais pas avant fin 2013, voire 2014).
Reste Texas Instruments qui pourrait également se fendre d’un partenariat tôt ou tard pour assurer un avenir à ses SoC du nom d’OMAP.
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