Ca bouge dans l’univers des accessoires connectés : aux Etats-Unis, FitBit serait sur le point d’avaler Pebble. The Information, à l’origine du scoop, évoque une transaction d’un montant faible pour ce mouvement de consolidation dans le segment des wearable technologies.
Néanmoins, les entreprises concernées n’ont pas annoncé officiellement leur rapprochement. Alors prudence.
La meilleure voie de sortie pour Pebble ? On peut douter des choix stratégiques d’Eric Migicovsky, CEO de la start-up californienne ayant conçu plusieurs modèles de montres connectées en s’appuyant sur le levier du financement du crowdfunding depuis 2009.
Un montant global d’environ 16 millions de dollars a été injecté dans Pebble. Pour le développement de ses accessoires connectés (smartwatches essentiellement), CrunchBase recense trois campagnes de financement participatif via la plateforme Kickstarter.
Ainsi, rien qu’en mars 2015, un montant de 20 millions de dollars a été collecté pour financer la conception de la Pebble Time.
Mais, sur le premier trimestre 2016, la start-up californienne semble rencontrer des soucis au point de se séparer d’un quart de son effectif (environ 50 collaborateurs).
Pourtant, Eric Migicovsky a eu des propositions alléchantes. Le fabricant de montres Citizen aurait été prêt à débourser 740 millions de dollars en 2015 pour acquérir Pebble. Offre repoussée.
Intel revient plus tard à la charge lors de la sortie de la Pebble 2 en mai dernier avec un prix au rabais : 70 millions de dollars.
Là aussi, le deal échoue selon TechCrunch, qui parie du coup sur une opération de sauvetage via FitBit dans une fourchette de 30 à 40 millions de dollars. Sans compter sur le poids des dettes qui serait non négligeable.
De son côté, FitBit poursuit son parcours en commercialisant un catalogue plus profond d’accessoires connectés (bracelets, montres, capteurs de mouvements, balances…).
Mais, après son introduction sur le NYSE en juin 2015, la société ancrée dans les wearables technologies déçoit les investisseurs avec ses résultats financiers qui ne sont pas jugés à la hauteur des ambitions initiales.
A la mi-2016, elle a installé un quartier général à Dublin (Irlande) pour superviser la zone EMEA (Europe – Moyen Orient – Afrique).
(crédit photo : Pebble 2+)
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