« Quelques semaines entre Seed & Series A ! »
Ainsi Jean-David Chamboredon commente-t-il, sur Twitter, la levée de fonds tout juste officialisée par PerSé Beauty.
Le capital de la start-up – qui préfère se présenter sous la marque commerciale Prose, à travers laquelle elle applique l’analyse de données à la formulation de produits capillaires sur mesure – prend une coloration un peu plus américaine dans le cadre de ce tour de table annoncé à 5,2 millions de dollars.
L’opération est, en l’occurrence, emmenée par Forerunner Ventures, Correlation Ventures faisant son entrée en parallèle.
Les fonds de capital-risque Lerer Hippeau Ventures, Red Sea Ventures et Maveron (derrière lequel on trouve le CEO de Starbucks), qui étaient de la levée d’amorçage bouclée au mois d’octobre pour environ 2 millions de dollars, remettent au pot… tout comme le fonds d’entrepreneurs ISAI, que dirige Jean-David Chamboredon.
Depuis lors, Prose a lancé, aux États-Unis, son service destiné à personnaliser les produits cosmétiques en traitant des informations tirées pour partie de bases de données ouvertes.
Ces dernières, publiées par les autorités américaines, touchent à la pollution, à la dureté de l’eau ou encore à l’exposition aux UV.
Elles complètent les informations que le client renseigne lui-même, des caractéristiques de ses cheveux jusqu’aux résultats souhaités, en passant par les habitudes (utilisation de shampooings colorants, régime alimentaire, niveau de stress, activité physique, etc.).
Le processus peut être réalisé en ligne ou bien chez des professionnels partenaires – pour l’heure à New York, Los Angeles et San Francisco – qui récupèrent, en échange de leur contribution, une commission de 25 % sur le montant des achats.
Les achats en question comprennent un shampooing, un après-shampooing et un masque. Après plusieurs essais, les prix avoisinent un moyenne de 120 dollars pour des flacons de 8,5 oz (environ 250 ml).
Prose, dont le CEO Arnaud Plas est un ancien de Henkel et de l’Oréal, où il supervisa le digital et le e-commerce, affirme que son algorithme est « capable d’évaluer 85 paramètres » pour créer « plus de 50 milliards de combinaisons ».
Si les produits sont fabriqués à New York, la R&D reste basée à Paris, pilotée par Catherine Taurin, spécialiste en produits capillaires qui a occupé les mêmes fonctions chez J.F. Lazartigue.
Equipés de NPU, les PC Copilot+ peuvent déployer des LLM en local. Un argument suffisant…
Que vous soyez un novice dans le domaine informatique, ou avec un profil plus expérimenté,…
Les attaques de phishing utilisant des QR codes frauduleux intégrés dans des documents PDF joints…
Microsoft a amorcé le déploiement de Windows 11 24H2. Passage en revue des nouvelles fonctionnalités…
L'intégration de Copilot dans la suite bureautique s'accélère. Où trouver l'assistant IA et comment l'utiliser…
Microsoft annonce une phase expérimentale pour lancer Recall sur les PC Copilot+. Elle doit commencer…