ITespresso.fr : Qu’est-ce qui distingue une « plateforme active de recrutement » comme Jobs Booker d’un simple site d’offres d’emploi ?
Stéphane BAURBERG : Les sites classiques d’emploi sont des sites de petites annonces. On cherche une offre, on envoie sa candidature (souvent un simple cv) et on scrute sa boîte mail pendant 3 semaines et 1 jour pour savoir si on est retenu pour un entretien. On n’a donc aucune prise sur son destin.
Jobs Booker est la première plateforme qui permet de gérer en intégralité le processus de recrutement : du matching, par consensus entre les attentes respectives, à la conclusion du contrat de travail.
C’est un véritable ERP online qui offre les mêmes outils ergonomiques, ludiques et productifs aux recruteurs ET aux candidats. Elle permet ainsi de créer la relation et de maintenir une interaction tout au long du processus de recrutement.
ITespresso.fr : Quel est votre modèle économique ? qui paye quoi ?
Stéphane BAURBERG – Les recruteurs paient des abonnements dont le prix varie suivant la durée de l’engagement qu’ils choisissent et le nombre d’établissements qu’ils engagent.
L’abonnement comprend une utilisation de sa plateforme en tout illimité (annonces, utilisation de toutes les fonctionnalités illimitées…) et ce, pour un nombre également illimité d’utilisateurs (qui pourront travailler en mode collaboratif centralisé, décentralisé ou un mix des deux, dans le cadre et les contraintes définis par la DRH).
Pas de facturation à l’acte, d’option premium, ou de coût caché, tout est compris et laisse le recruteur l’esprit libre pour utiliser pleinement et comme il l’entend sa plateforme de recrutement.
A l’occasion de notre lancement, nous offrons 3 mois de gratuité sans engagement (aucun besoin de résilier) dans chaque secteur d’activité, à compter de leur date d’ouverture sur notre site, pour toutes les entreprises de France. Ensuite, les prix mensuels, par établissement, évolueront entre 599 euros HT (pour un mois d’engagement) et 299 euro HT (pour un an d’engagement).
Des remises seront appliquées suivant le nombre d’établissements engagés et leurs durées d’engagement.
Les grandes chaînes pourront, en l’occurrence, accéder à des partenariats spécifiques, adaptés au grand nombre d’établissements qu’elles possèdent. L’accès est et sera toujours gratuit pour les candidats.
ITespresso.fr : Au-delà du recrutement, votre application pourrait-elle devenir un véritable progiciel de gestion des talents ou de la paie ?
Stéphane BAURBERG – Nous en avons déjà dessiné les prémices dans la mesure où les candidatures des personnes recrutées migrent dans un espace « job bookés », nourries de tout leur historique (les échanges, documents, notes…), et de tous leurs outils (modules d’organisation de RDV, d’échange de messages, de documents, outil de visioconférence,…).
Ainsi, le candidat pourra, même à 500 Km de sa DRH, continuer d’échanger pleinement avec elle.
Nous allons, par ailleurs, proposer très prochainement de nouvelles fonctionnalités de GRH, pour continuer de faciliter la proximité, la qualité et la productivité des rapports post-recrutement.
Mais il est encore trop tôt pour vous en donner les détails. Concernant la paie, il est d’ores et déjà possible d’interfacer, sur-mesure, Jobs Booker avec les systèmes de nos clients.
ITespresso.fr : Comment expliquez vous le paradoxe d’un marché de l’emploi comptant des millions de chômeurs et 500 000 emplois non pourvus ? Est-ce un simple problème de mise en relation ?
Stéphane BAURBERG – Nous sommes convaincus que la solution réside dans une combinaison à quatre chiffres : l’instantanéité, la flexibilité, l’adéquation de l’offre et de la demande, et l’accompagnement.
L’instantanéité car lorsque vous avez besoin de recruter (et a fortiori, de trouver un job), c’est souvent pour hier… Notamment dans les métiers les plus employeurs de France, comme les HCR où les turn-over peuvent parfois friser les 200% par an.
La flexibilité car pour les jeunes entreprises, encore fragiles et peu capitalisées, comme pour toutes les sociétés en période de crise, les moyens manquent pour recruter des temps pleins. Pourtant, leurs possibilités et leurs besoins leur permettraient d’embaucher pour 10 ou 20h par semaine et d’augmenter corrélativement et sensiblement leur chiffre d’affaires.
Le sujet est d’être capable d’offrir, concomitamment, la possibilité au salarié, de compléter, à proximité de son premier job, son temps de travail par un second job compatible.
L’adéquation de l’offre et de la demande car les chercheurs d’emploi comme les recruteurs s’épuisent à éplucher des propositions qui s’avèrent être souvent très différentes de leurs attentes.
Faute à un manque de transparence du marché (vous ne savez souvent même pas pour quel employeur final vous postulez !), des outils de matching limités et des outils d’accompagnement et de suivi inexistants.
Avec Jobs Booker, nous avons tenté de répondre le plus simplement et le plus ludiquement possible à toutes ces problématiques, en conservant toujours à l’esprit que le recrutement repose, avant tout, sur la création d’un lien profondément humain.
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