Une simple diapositive saisie au vol par un membre de l’assemblée présent lors d’un événement Google confirme le lancement imminent d’un service de stockage en ligne comparable à Dropbox et supposément baptisé GDrive, bien qu’il n’ait nullement été fait mention d’une telle appellation.
Après quelques années passées dans les cordes, à essuyer les plâtres d’un Internet omniprésent et devenu mobile, le cloud a mûri, avec l’apparition d’une foule de solutions qui tiennent désormais la route.
De prime abord, la densité des prestataires aurait tendance à faire du nuage une forêt vierge à la croissance exponentielle.
Au beau milieu, un arbre dénommé Dropbox réunit sous son couvert plus de 25 millions d’utilisateurs. Convoité par Apple, le service de stockage et de sauvegarde en ligne a notamment résisté à la tentation d’Apple, qui proposait 800 millions de dollars pour son acquisition.
Se dresse désormais face à lui une jeune pousse signée Google et vraisemblablement baptisée Gdrive.
Il s’agirait d’un écosystème à part entière, dont l’interface adopterait les airs des Google Docs en place depuis début 2010.
Dans l’absolu, hormis quelques détails visuels, seule changerait donc une bannière renommée Google Drive. Demeurerait l’accès HTTP via une page Web, au même titre que les clients mobiles pour Android et consorts.
Mais à l’instar de Dropbox, l’intérêt de cette nouvelle solution résiderait en une intégration dans l’explorateur de fichiers. L’utilisateur aurait tout le loisir de se constituer un dossier personnel manipulable en l’absence d’une connexion Internet.
Un système de cache permettrait d’oeuvrer en local, en vue d’une synchronisation ultérieure un fois le Net à disposition.
Comme aux origines, le concept s’apparente à un disque dur virtuel. En effet, deux ans durant, jusqu’à son interruption en 2008, l’extension GDrive a fait d’une messagerie Gmail un dossier personnel en ligne, avant l’avènement du cloud.
Mais à l’heure actuelle, peu d’utilisateurs se servent des Google Documents comme d’un espace de stockage, alors même que ces derniers se prêtent idéalement à la tâche.
Le succès de la plate-forme dépend peut-être d’un simple « rebranding », soit l’ajout d’un préfixe à un radical significatif, plus explicite : « Drive », pour « lecteur ». Microsoft a opté pour cette stratégie avec son SkyDrive.
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