En qualité d’éditeur de la plate-forme SaaS CloudMerge, destinée à l’archivage des messageries d’entreprise via le cloud, LiveOffice passe dans le giron de Symantec pour un montant que Jefferies & Company évalue à 115 millions de dollars.
Le cabinet d’analyses évoque quelque 20 000 souscripteurs à ces outils collaboratifs, lesquels auraient généré 40 millions de dollars de chiffre d’affaires sur l’exercice 2011.
Symantec est pressenti pour les intégrer à son portfolio de solutions de backup documentaire.
Et pour cause : doué d’une compatibilité avec de nombreux webmails (notamment l’écosystème de Google), CloudMerge s’accommode en parallèle de suites bureautiques telles qu’Office 365 (composantes Exchange et Sharepoint).
Silicon.fr analyse que sa polyvalence le dédie à toutes les structures, des TPE aux grands comptes.
L’ensemble se présente sous la forme d’un outil d’administration centralisée qui orchestre, à distance ou sur site, l’agrégation, la sauvegarde et le stockage de l’ensemble des informations (courriels avec ou sans pièce(s) jointe(s), discussions instantanées…) véhiculées sur les canaux de messagerie.
Le champ d’action de CloudMerge inclut également les données sauvegardées sur bande et celles hébergées via des services tels qu’Autonomy ou… Symantec Enterprise Vault.
S’y adjoint l’émission envisageable de timbres d’horodatage pour chaque document, une démarche garante d’une protection renforcée de la propriété intellectuelle.
Avec le concours d’un tandem composé de Box (ex-Box.net) et Dropbox, LiveOffice s’est attaché à prôner la gouvernance à distance de l’information.
Moins onéreux à mettre en place qu’une infrastructure d’hébergement en local, l’écosystème CloudMerge est plus flexible au regard de cette disponibilité accrue à laquelle s’adjoint un mode de consultation hors ligne accessible en cas de force majeure.
Il se distingue également par une synchronisation active des fichiers et dossiers, ponctuée d’une sécurité exacerbée.
Conformes à la certification ISO 27001-2005, les datacenters régionalisés impliqués dans le processus disposent d’une protection SAS-70 de type II, d’une accessibilité physique fonction d’une identification biométrique et d’une surveillance en continu, « 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 » , dixit l’éditeur.
Le cryptage en transit (TLS) et son homologue AES sont également de la partie, au même titre qu’une série de pare-feu redondants associés à des comptes-rendus d’activité (logs), moyennant la définition préalable de droits d’accès.
Le rachat de LiveOffice tout juste consommé, Symantec devrait procéder à son intégration imminente aux côtés de ses produits de gestion que sont Clearwell eDiscovery et Entreprise Vault.
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