Au prix de quelques concessions matérielles, l’Acer Iconia Tab A200 reprend bien plus que les traits de sa soeur siamoise, la dénommée A500, sortie au printemps dernier.
Articulée autour d’un système Android Honeycomb 3.2 (transition vers Ice Cream Sandwich effective à compter du mois prochain), elle en réhabilite l’esprit, le design et les fonctionnalités, quand bien même certains éléments passent à la trappe.
En contrepartie, l’entrée de gamme s’affiche à 329 euros (version à 8 Go de mémoire interne), contre 499 euros pour les premiers exemplaires de celle qui l’a précédée jusqu’à passer par le banc de tests d’ITespresso.fr.
Fort d’une apparition remarquée au début du mois, le P-DG Jim Wong avait à demi-mot confessé l’objectif premier d’un tel produit : renouer avec cette tradition perdue du low cost et s’immiscer sur le créneau des tablettes Archos G9, réputées pour leurs tarifs agressifs.
La vidéo de démonstration présentée à cette occasion laissait entrevoir quelques retouches effectuées avec à-propos, pour un lancement des hostilités avant les fêtes de fin d’année. Le contrat est rempli, moins d’une semaine avant Noël.
Alors qu’il se murmure qu’Archos préparerait en parallèle une solution alternative à moins de 200 euros, l’Iconia Tab A200 tentera d’aguicher le grand public avec les moyens du bord. En premier lieu, cet écran IPS de 10,1 pouces en 1280 x 800.
Ne disparaissent toutefois que certaines composantes dont l’implémentation n’apporte qu’une moindre valeur ajoutée. C’est le cas de ce capteur photographique dorsal, absent des débats au profit d’une caméra frontale à 2 mégapixels, idéale pour la visioconférence.
A ce même titre, la sortie HDMI, qui peine à s’imposer sur les ardoises tactiles, tire sa révérence. L’émergence concomitante de l’Intel Wireless Display (transmission sans fil de flux audiovisuels) et de technologies apparentées y est pour beaucoup.
Mais à l’heure où les processeurs OMAP (Texas Instruments) et Snapdragon (Qualcomm) prennent leurs aises dans les terminaux mobiles, la véritable contrainte d’envergure réside en ce vieillissant SoC Nvidia Tegra2 avec ARM Cortex A9 à 1 GHz.
Un immobilisme qui devrait accoucher de performances comparables à celles de la vénérable A500, amenée à souffler sa première bougie en prochain.
Le concept est-il un tant soit peu en mesure de s’octroyer une part d’un gâteau dont Apple ne laisse guère que les miettes ? Rien n’est moins sûr, mais Acer, qui n’est pas né de la dernière pluie, pourra toujours se rabattre sur ses tablettes Windows 8.
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