Renforcée en ses angles, enveloppée d’un châssis durci, la DreamBook C10 de l’Australien Pioneer Computers se destine aux professionnels amenés à exercer dans les conditions extrêmes d’environnements si hostiles qu’ils en sont généralement fatals aux tablettes tactiles.
A l’image du ToughPad de Panasonic, cette dure à cuire s’accommode des déluges comme des grandes sécheresses. Immunisée contre les projections et la poussière, elle se prête tout particulièrement à des usages médicaux ou dans le secteur du bâtiment.
Malencontreuse contrepartie à ce pare-chocs capitonné, la balance affiche plus de 1200 grammes à la pesée. C’est lourd, même pour un terminal doté d’un écran de 10,1 pouces.
A titre comparatif, l’iPad 2, qui joue certes dans une toute autre catégorie, dépasse tout juste les 600 grammes.
Il s’articule toutefois autour d’un processeur Cortex A5, quand la DreamBook embarque un Atom Z670 monocoeur à 1,5 GHz, sur la base d’une chipset Intel SM35.
S’y adjoint, dans la version de base facturée 2300 euros TTC, un maigre gigaoctet de mémoire vive, extensible au double, uniquement sur demande : le module de DDR à 800 MHz est soudé sur la carte mère, au même titre que ce SSD de 16 à 64 Go.
Technologie résistive oblige, il y a fort à parier que le panneau principal (multitouch à 5 points) manquera de réactivité.
Il eût néanmoins été rédhibitoire d’opter pour du capacitif, plus complexe à mettre en place et nécessairement fragile par essence, à contresens d’une démarche de sécurisation matérielle contre les chutes de plus d’un mètre de hauteur.
D’autant plus que l’ensemble vaut son pesant de cacahuètes, notamment au sens propre. Onéreuse malgré l’entrée de son constructeur par la petit porte, la DreamBook C10 se démarque tout de même par la richesse de sa connectivité.
Pour valoir ce que de droit, en témoignent une interface Wi-Fi 802.11n, un module Bluetooth 2.1, un port USB 2.0 et deux capteurs ; l’un frontal à 1,3 mégapixels, quand son vis-à-vis situé au dos atteint les 2 millions.
Un écosystème alléchant que complémente l’implémentation d’un GPS, optionnel au même titre que cette puce NFC et cette 3G+ mise en place avec le seul concours des opérateurs australiens.
A noter la commodité de cette double batterie, pour une autonomie évaluée à 12 heures. C’est sans compter cette infinité d’accessoires tels que ces stations d’accueil destinées à fixer la tablette sur le tableau de bord d’un véhicule.
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