Héritière d’une lignée de Tablet PC réunis sous le sobriquet de Toughbook, la tablette durcie dénommée Toughpad FZ-A1 affiche une robuste carcasse de 970 grammes, mais cache un coeur moelleux à base d’Android Honeycomb. Panasonic la destine aux entreprises et le prix s’en ressent : 850 euros HT pour le modèle de base.
Le constructeur nippon accouche d’un terminal pas comme les autres.
Alors que ses homologues (Fujitsu Stylistic, MSI WindPad) ne jurent guère que par Windows 7 pour développer leur potentiel, la tablette sus-citée se cantonne à la version 3.2 de l’OS de Google. Un sacré pari néanmoins relevé avec dignité et assurance.
En point d’orgue, une coque ultra-résistante laisse transparaître un écran capacitif antireflets, d’une diagonale traditionnelle de 10 pouces, pour un affichage en 4:3.
Panasonic met un point d’honneur à conférer à ce panneau XGA un ratio de luminosité qui atteint les 500 candelas par mètre carré.
En termes moins techniques, cela signifie que l’écran émet un rayonnement suffisamment puissant pour offrir une lisibilité optimale jusque dans des environnements surexposés.
A titre comparatif, l’iPad, dont la dalle IPS ne dépasse pas les 400 cd/m², fait déjà figure de bon élève dans le domaine.
Reste que le Toughpad n’a pas grand-chose en commun avec les terminaux d’Apple. Ses nombreuses options de connectivité incluent la 3G (version à 999 euros HT), un port micro-HDMI, un lecteur de cartes microSD et un micro-USB.
S’y adjoignent deux capteurs CMOS à 2 et 5 mégapixels. Si le premier se prête tout particulièrement à l’exercice de la visioconférence, son vis-à-vis constitue une solution de dépannage pour saisir au vol quelques clichés.
Mais l’un des véritables points forts d’une tablette parmi les plus onéreuses qui soient reste cette large palette d’accessoires, dont une station d’accueil pour véhicules et ce sylet passif qui prend en compte plusieurs centaines de niveaux de pression, notamment dans le cadre d’une authentification par signature.
A ce sujet, Panasonic confirme travailler en direct avec ses clients pour éventuellement apporter son concours dans le déploiement de masse, le marquage du matériel (à même le Soc cadencé à 1,2 GHz), l’extension de garantie (3 ans par défaut), le service après-vente (notamment pour la batterie) et la mise en place de logiciels de sécurité.
Parmi les solutions ainsi proposées, le cryptage de bas niveau, le VPN (réseaux virtuels privés), le Trusted Boot et l’authentification centralisée tant prisée des DSI.
Conçu avec des idées bien arrêtées, le Toughpad dédie ses services à des corps de métier tels que la santé, le bâtiment, le paramilitaire ou l’aviation.
Son résistance aux chutes, son imperméabilité et sa résistance face à la poussière y seront mises à l’épreuve à compter du printemps 2012, pour 850 euros hors taxes (149 euros supplémentaires pour y ajouter la 3G).
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