La start-up néerlandaise Yarvik persiste et s’engage sur la voie des tablettes à bas prix avec un modèle doté d’un processeur Telechips inconnu au bataillon et cadencé à 1GHz, d’un écran de 7 pouces (18 centimètres), d’Android Gingerbread et affublé d’un prix qui se présente comme son seul avantage : 99,90 euros TTC.
Une énième tablette 7 pouces pour une arrivée toujours aussi peu remarquée sur le marché français. La Yarvik Tab250 perpétue la tradition de terminaux abordables qui trouvent leur public parmi les moins fortunés.
Et pour cause : le consommateur n’a pas grand-chose à se mettre sous la dent.
Cette ardoise ne saurait pour autant faire insulte à l’écosystème Android, mais sans saveur, elle se range presque trop sagement dans la fameuse catégorie du « No Name », sans perspective si ce n’est de séduire un public de non-initiés.
Dopée d’un Android Gingerbread (sans surcouche) particulièrement adapté aux dalles de 7 pouces, la Tab250 se mue en gros smartphone, plus insipide, cependant, car dépourvu de fonctions GSM comme de la 3G et cantonnée à un panneau TFT résistif, peu approprié au contrôle tactile.
La résolution de 800 x 480 points et la caméra à 0,3 Mégapixel s’accordent plus à la politique tarifaire qu’à l’utilisation à proprement parler, notamment dans l’exercice de la navigation sur Internet.
Néanmoins, pour la bagatelle d’une centaine d’euros, peut-on réellement s’attendre à mieux, à moins de se tourner vers l’importation directe depuis les usines de production ?
Tout au plus Yarvik ne peut-il jurer que par un catalogue exhaustif de plus de 200 000 applications disponibles sur l’Android Market.
Mais une multitude de ces solutions logicielles se sentiront vite à l’étroit avec 256 Mo de RAM et 4 Go de mémoire interne. Oeuvre d’un certain Telechips, le processeur TCC8902 ARM11 à 1 GHz suit la même tendance.
Et quand bien même on s’évertue à nous évoquer « des jeux 3D » et « une grande fluidité d’exécution », on a bien de la peine à s’imaginer le résultat. D’autant plus qu’aucune mention n’est faite d’un éventuel gyroscope ou d’un capteur de luminosité.
L’autonomie n’est pas non plus son fort, avec tout au plus 4 heures d’autonomie (données constructeur) en lecture vidéo, avec écoute au casque.
Seul un poids réduit (365 grammes) pourrait plaider en faveur d’un ensemble esthétiquement plus disgracieux qu’harmonieux. Un produit à destiner aux plus jeunes ?
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