Outre les "pays ennemis de l'Internet", RSF vise dans un rapport sur la cyber-surveillance cinq éditeurs dont un français (Amesys) ayant collaboré avec des régimes autoritaires. Qosmos est épargné.
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Outre les "pays ennemis de l'Internet", RSF vise dans un rapport sur la cyber-surveillance cinq éditeurs dont un français (Amesys) ayant collaboré avec des régimes autoritaires. Qosmos est épargné.
Le candidat du MODEM engagé dans la présidentielle veut renforcer l'influence du CNNum, créer une charte éthique pour le transfert de TIC et développer l'offre légale de téléchargement à bas prix.
Amesys, filiale conseil en défense et sécurité du groupe Bull, est critiquée pour avoir fourni du matériel d'espionnage électronique à l'ancien régime autoritaire de Kadhafi en Libye. Bull veut tourner la page.
L'application mobile de Pôle emploi s'enrichit de nouvelles fonctionnalités, notamment la réactualisation directe de sa situation. Elle exploite aussi des fonctions de géolocalisation.
Wikileaks expose en plein jour les pratiques d'une centaine de sociétés installées dans les pays occidentaux (dont la France) favorisant l'espionnage des communications électroniques à grande échelle.
Amesys, la branche sécurité de Bull, admet la livraison en Libye "d'un matériel d'analyse d'une fraction des connexions Internet" mais balaie les accusations de surveillance IT généralisée. Le député Christian Paul (PS) interpelle le g ...
En 2009, Amesys, filiale sécurité du groupe Bull, a contribué à équiper un centre de surveillance des communications électroniques à Tripoli, qui facilitait l'espionnage des opposants au colonel Kadhafi.
Le groupe IT français lance une gamme d'appliances BullWatch pour se prémunir des pertes des données, "qui dispose de capacités de travail en temps réel". Un système "unique au monde", se targue-t-il.
Amesys, le pôle conseils et ingénierie dédié aux systèmes critiques du groupe Crescendo Industries, passerait dans le giron de Bull.