Alibaba franchit le cap du demi-milliard de dollars de revenus trimestriels sur le cloud, mais son activité reste portée exclusivement par le (e-)commerce.

Alibaba franchit le cap du demi-milliard de dollars de revenus trimestriels sur le cloud, mais son activité reste portée exclusivement par le (e-)commerce.
Par le biais du CFIUS, l'administration fédérale rejette le projet de rapprochement entre l'américain MoneyGram et le chinois Alibaba. Les deux parties concernées jettent l'éponge.
Après une phase pilote, l'expansion d'Alipay démarre véritablement aux États-Unis. Apple Pay n'est pas considéré, sur place, comme un concurrent direct.
Pour soutenir le développement de son pôle de services financiers face à celui d'Alibaba, le groupe e-commerce chinois JD.com va en céder le contrôle.
Connu pour sa messagerie instantanée, le groupe coréen Kakao s'allie à Alibaba, qui l'accompagne dans la constitution d'une filiale de services financiers.
L'accélération de l'activité e-commerce d'Alibaba à l'international se confirme. Le cloud progresse lui aussi significativement, mais n'est pas encore rentable.
Trois banques, dont BNP Paribas, s'associent à Ant Financial (groupe Alibaba) pour accompagner le développement, en Europe, du e-wallet Alipay.
Via sa branche Ant Financial, Alibaba fait main basse sur l'américain EyeVerify et sa technologie d'identification oculaire pour les applications mobiles.
Au-delà des paiements transfrontaliers sur Aliexpress, le partenariat entre Ingenico et Ant Financial (groupe Alibaba) pourrait toucher au commerce physique.
Lors d'une réunion d'investisseurs, Alibaba a précisé sa stratégie sur le long terme. La data y occupe une place centrale.
FinTech à la chinoise : Ant Financial, la branche du groupe Alibaba qui exploite Alipay (solution populaire de paiement électronique), vient de lever 4,5 milliards de dollars.
En croissance sur son coeur d'activité e-commerce, Alibaba veut se développer sur le cloud, qui ne pèse encore qu'une infime part du chiffre d'affaires sur le 2e trimestre 2015.