L'Arcep réaffirme son inquiétude quant au retard pris dans la transition d'IPv4 vers IPv6 et aux dysfonctionnements de services qui pourraient en résulter.

L'Arcep réaffirme son inquiétude quant au retard pris dans la transition d'IPv4 vers IPv6 et aux dysfonctionnements de services qui pourraient en résulter.
L'Arcep réaffirme, dans son rapport annuel, ses inquiétudes quant à la neutralité des appareils électroniques, « maillon faible de l'ouverture d'internet ».
De la définition des besoins à l'évaluation de la qualité de service, le document vise à accompagner le choix des solutions télécoms en entreprise.
Pour permettre aux outils de mesure de la qualité des accès Internet de mieux caractériser les environnements testés, l'Arcep pousse l'intégration d'une API dans les box.
La quatrième consultation publique de l'Arcep sur les réseaux 5G aborde la question des transformations du marché des télécoms.
La libération d'une portion supplémentaire du spectre radio est enclenchée en prévision du lancement de la 5G. Des dispositions sont aussi prises pour l'IoT.
La fibre optique de bout en bout (FttH) porte désormais près de la moitié des accès fixes à très haut débit recensés en France. Mais la couverture du territoire est inégale.
Les investissements des opérateurs télécoms dans le très haut débit fixe et mobile progressent plus vite que les revenus qu'ils en tirent, d'après les données de l'Arcep.
Le rapport annuel de l'Arcep dénote le faible poids de l'IoT comparativement à la valeur dégagée sur le marché global des services mobiles en France.
Dans la lignée de son accord d'itinérance 2G/3G avec Orange, Free pourrait mutualiser le déploiement de son réseau 4G avec l'opérateur historique.
Sous la pression du gouvernement, Canal+ a rétabli le signal des chaînes de TF1 pour les abonnés à ses offres satellite. L'Arcep s'implique dans le dossier.
Pour améliorer sa connaissance du marché, l'Arcep ouvre un espace en ligne destiné au signalement de problèmes avec les opérateurs fixes, mobiles et postaux.
L'AOTA, association qui regroupe une trentaine d'opérateurs alternatifs, se montre déçue de l’analyse de marché du très haut débit de l’ARCEP. Son président pointe du doigt ce qu'il considère comme des postures biaisées.
L'ARCEP veut mettre la pression sur Orange au nom "d'une régulation pro-investissement" dans le chantier de la fibre et stimuler les offres commerciales pour les TPE/PME.
Le gouvernement d'Edouard Philippe poursuivra le déploiement du très haut débit en respectant l'échéance 2022. Mais il faudra atténuer les tensions entre opérateurs, collectivités et régulateur.
L'ARCEP autorise Bouygues Telecom et SFR à exploiter la 4G sur la bande de fréquences à 2 100 MHz aujourd'hui utilisée pour la 3G.
Sur fond de retard dans le déploiement de la fibre en France, l'ARCEP voudrait calmer les ardeurs d'Orange vis-à-vis de la concurrence. L'opérateur visé hausse le ton.
Bruxelles envisage d'élargir aux acteurs OTT tels que Skype les dispositions qui s'appliqueront aux opérateurs avec le nouveau règlement européen sur la protection des données.
Bouygues Telecom conteste, auprès de l'Autorité de la concurrence, l'amendement qu'Orange et Free ont récemment signé à leur contrat d'itinérance 2G/3G.
Le groupe européen des autorités nationales de régulations télécoms (incluant l'ARCEP) a fixé la ligne de conduite pour le respect de la neutralité du Net.
La Commission européenne voudrait réviser le cadre de régulation des télécoms. Quelles règles faut-il imposer aux acteurs OTT ?
Les derniers relevés de l'Arcep dénotent une nette progression du nombre de cartes SIM associées à des offres sans engagement ainsi qu'aux communications M2M.
Une enquête de la DGCCRF a abouti à un procès sur la pratique de ping call associée à des numéros téléphoniques surtaxés (SVA). Et à une lourde condamnation.
A travers un avenant, Orange et Free ont précisé à l'ARCEP comment ils comptaient mettre progressivement un terme à leur accord d'itinérance.
L’ORECE lance une consultation publique sur le thème de la neutralité Internet. Pour passer de la théorie à la pratique sur fond de règlement européen.
L'ARCEP recense 4,5 millions d'abonnements très haut débit en France (+35% en un an), dont 1,6 million en fibre optique à domicile (+53%).
Fin 2015, le marché des télécoms français a tenu la dragée haute, grâce à la montée en puissance du très haut débit (4G et fixe), sans oublier la santé florissante du parc M2M.
Sans soucis apparents, la France métropolitaine a basculé dans la TNT en haute définition généralisée dans la nuit du 4 au 5 avril.
Un arrêté de Bercy précise les mentions à apporter en termes de communication grand public sur les offres très haut débit commercialisées par les opérateurs.
Pour couvrir d'ici 2017 en 2G et 3G les zones blanches de notre territoire, l'Etat serait prêt à débourser environ 70 millions d'euros pour aider au déploiement des infrastructures.