Le groupe Internet japonais Rakuten a racheté, pour 1 milliard de dollars, la plate-forme américaine de cash back en ligne Ebates.com, pour s’implanter notamment aux Etats-Unis.

Le groupe Internet japonais Rakuten a racheté, pour 1 milliard de dollars, la plate-forme américaine de cash back en ligne Ebates.com, pour s’implanter notamment aux Etats-Unis.
Le groupe Internet japonais Rakuten négocierait le rachat de l’américain Ebates.com, spécialiste du cash back. Objectif : se développer à l’international.
Rodolphe Oulmi, Directeur développement et partenariat de Webloyalty, explique comment un site marchand peut exploiter la page de validation d'une commande comme canal de business.
Les deux spécialistes français de "l'achat rémunéré" (cash-back) se rapprochent dans ce segment e-commerce qui devrait prendre de l'ampleur avec le social shopping.
Forum E-Marketing : la jeune pousse Limonetik favorise la mise en relation entre émetteurs de moyens de paiement alternatifs (prêts à la consommation, couponing, cartes fidélité, etc.) et sites marchands.
Pour préparer Noël, la deuxième édition des Cybermonday est organisée en France. Une opération fédérant les principaux sites ecommerce et qui s'étale sur une semaine.
Après le fiasco de l'opération "bus cash-back" de Mailorama, la menace de plaintes se précise. Martin Hirsch demande aux "zozos de Mailorama de s'excuser platement".
Comment a été préparée l'opération Mailorama de distribution gratuite d'argent ? Pourquoi cela a dérapé ? Suite et fin de la vidéo de la conférence de presse de Jean-Marc Fedida, avocat de Mailorama.
Maître Fedida, avocat qui défend les intérêts de Mailorama/Rentabiliweb, revient sur la question des responsabilités liées aux troubles après l'annulation de la distribution d'argent gratuite à Paris.
Avec les risques de débordement, la société Internet de cash-back Mailorama (Rentabiliweb), qui voulait distribuer des billets de banque sur Paris, a annulé l'opération à la dernière minute. Trop tard : la situation a dégénéré sur plac ...
Insolite : pour promouvoir son service de cash-back, Mailorama (groupe Rentabiliweb) va distribuer de l'argent dans la capitale. La préfecture de police veille au grain et le monde politique s'en mêle.