Apple et Google estiment que leurs OS mobiles respectifs sont protégés contre « la plupart » des failles révélées par WikiLeaks dans son « dossier CIA ».
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Apple et Google estiment que leurs OS mobiles respectifs sont protégés contre « la plupart » des failles révélées par WikiLeaks dans son « dossier CIA ».
L'administration Obama déclassifie un nouveau rapport pour tenter de démontrer l'ingérence russe dans la campagne présidentielle et son influence sur le vote.
Palantir Technologies (analytique big data) avait passé sous silence sa dernière levée de fonds, qui intervient dans un contexte particulier.
La ligne fixe (Internet, téléphone) de James Clapper, directeur du renseignement américain, a été détournée par des pirates informatiques. Comment en est-on arrivé là ?
Nouveau tour de financement privé pour Palantir Technologies. L'éditeur américain spécialiste de l'analytique big data lève près de 880 millions de dollars.
Tout comme Hillary Clinton lors de son mandat de secrétaire d'État, le directeur de la CIA utilise une adresse e-mail personnelle... qui vient d'être piratée.
Apple va améliorer l'accessibilité de son environnement Xcode pour ne pas que les développeurs chinois soient tentés de le récupérer sur des serveurs tiers.
Soutenu par le fonds In-Q-Tel de la CIA, Palantir Technologies (analyse de données en masse) boucle une levée de fonds de 500 millions de dollars.
Sur la foi de documents d'Edward Snowden, The Intercept décortique la manière dont la CIA a cherché à percer la sécurité de l'iPhone côté Apple mais aussi de Windows côté Microsoft.
La CIA ouvre deux canaux de communication sur les réseaux sociaux. On va voir jusqu'où peut aller la transparence dans le monde du renseignement.
Pour obtenir des relevés téléphoniques dans le cadre d'enquête sur le terrorisme, la CIA verserait plus de dix millions de dollars par an à AT&T (source NYT).
Des milliers d'entreprises high-tech informeraient le renseignement américain des failles de sécurité présentes dans les logiciels qu'elles fournissent aux gouvernements tiers.
La CIA, l'agence américaine du renseignement, a signé un contrat sur 10 ans de 600 millions de dollars afin qu'Amazon Web Services l'aide à élaborer son infrastructure de cloud privé.
Au-delà de Google, le hacking affectant DigiNotar du nom d'un spécialiste de l'authentification IT a touché des services de renseignements comme la CIA. C'est très inquiétant pour la sécurisation d'internet via la surcouche SSL.
Violemment épinglé dans un rapport de l'OTAN sur le hacktivisme numérique, le collectif Anonymous a visé des données confidentielles de l'Alliance Atlantique.
Anonymous a posté sur The Pirate Bay un fichier piraté contenant près de 90 000 adresses e-mails, 4 Go de code, ainsi que de nombreux identifiants et données personnelles de militaires américains.
La semaine dernière, on a recensé deux cyber-attaques sur des laboratoires américains "sensibles" (énergie, physique nucléaire, défense...). Une nouvelle alerte qui conforte l'idée de renforcer la sécurité IT.
LulzSec fait encore des siennes ! Le collectif de hackers a cette fois-ci lancé une attaque de type DDoS en direction du site Web de la CIA, l'agence américaine de renseignements.
Twitter a reçu une injonction de la part de la justice américaine pour collecter des éléments des comptes de Julian Assange et d'autres sympathisants. Une requête similaire aurait été adressée à Google et Facebook.
Websense (filtrage Internet, protection des données), a découvert une nouvelle vague d'attaques visant des collaborateurs de gouvernements et des militaires. Le cheval de Troie Zeus en serait responsable.