Le G29, réunion des différentes CNIL d'Europe, a saisit la commission européenne pour obtenir des clarifications concernant la portée du programme PRISM.

Le G29, réunion des différentes CNIL d'Europe, a saisit la commission européenne pour obtenir des clarifications concernant la portée du programme PRISM.
A l'issue d'un audit de confidentialité mené au mois de mai, la CNIL rend une conclusion sans appel : plus de 20% des sites et applications mobiles contreviennent à la loi française en matière de protection des données personnelles.
Mis en demeure par la CNIL, Google dispose de trois mois pour s'aligner sur la loi française en matière de protection des données sur Internet.
Les agences de protection des données de 6 États viennent d'adresser une lettre signée de leurs commissaires à Larry Page, P-DG de Google, afin d'en apprendre plus sur le devenir des données collectées par les Google Glass.
La CNIL constate toujours des dysfonctionnements dans la réactualisation des données de ce fichier policier recensant les antécédents. Et ce, alors qu'une refonte des bases entre la police et la gendarmerie se profile.
La CNIL appelle les internautes français à se prononcer sur le principe du "droit à l'oubli numérique". Les conclusions de cette consultation alimenteront un projet de règlement européen.
Plusieurs autorités mondiales compétentes en matière de protection des données et réunies au sein du Global Privacy Enforcement Network ont mené ce lundi une opération conjointe : un audit de confidentialité sur un échantillon de sites ...
En dressant son bilan 2012, la CNIL met en garde contre les dérives liées à l'exploitation des données personnelles sur Internet. Et se défend de brider l'innovation.
Une étude conjointe de la CNIL et de l'Inria conclut à l'indiscrétion généralisée des applications mobiles, qui collectent et transmettent à des tiers de nombreuses données personnelles.
Faute d'accord européen avec Google sur la protection des données, chaque organisation membre du G29 peut "poursuivre ses investigations" au niveau national. La CNIL embraie.
Le groupement des autorités nationales en charge de la protection des données personnelles dans l'UE demeure inflexible face à Google.
Parallèlement à la remise du rapport Montaigne sur le "new deal" numérique, Gilles Babinet s'est exprimé à titre individuel. La CNIL doit se réformer ou disparaître.
Google ne semble pas perturbé avec les menaces de sanctions proférées par les autorités européennes en charge de la protection des données (CNIL en tête).
Les autorités européennes de protection des données considèrent que Google n'a pas apporté de réponses concrètes sur la question du respect de la vie privée. Gare aux sanctions.
Un canular téléphonique a permis de récupérer et de diffuser sur Internet des éléments de fiches de police relatives à des infractions commises par des rappeurs. Fin décembre, la CNIL procédait à un contrôle du STIC.
Interview du directeur du laboratoire ESIEA de virologie et de cryptologie opérationnelles : cyberattaque Elysée, cyberdéfense, antivirus...Il prend ses distances vis-à-vis des éditeurs de solutions de sécurité IT.
Le retour de l'application cartographique de Google Maps est un succès mais il est terni par une polémique sur la traçabilité des données géolocalisées.
La dernière étude de la CNIL fait le point sur la publication et la gestion par les internautes des photos sur les réseaux sociaux, qui reste encore une pratique mal maîtrisée.
Terra Nova a publié son rapport sur la rénovation du numérique à la française, préfacé par Jacques Attali. En ressortent 123 propositions visant à faire du numérique un moteur de croissance.
Après les "recommandations" pour mieux protéger les données personnelles, la CNIL accorde à Google un délai de quatre mois pour les prendre en compte. Elle n'exclut pas ensuite une "phase contentieuse".
Au nom des 27 instances en charge de la protection de la vie privée en Europe, la CNIL accuse Google de manquer de transparence sur la manière dont les données personnelles sont exploitées.
Au nom du G29, la CNIL devrait dévoiler aujourd'hui les conclusions de son enquête sur l'exploitation des données personnelles par Google. Et l'exercice risque d'être déplaisant pour le groupe Internet.
Des médias avancent qu'Orange prépare des offres à débits différenciés et chercherait à pister ses abonnés. Confusion des genres, assure l'opérateur.
Deux députés socialistes veulent croire à l'existence du "bug Facebook" et appellent le gouvernement à prendre des mesures en conséquence. En parallèle, le torchon brûle toujours sur la question de la confidentialité des données.
Dans la continuité de la polémique à l'entour du "bug Facebook", l'enquête de la CNIL conclut à une berlue collective, mais aussi à de nombreux manquements du réseau social en matière de protection de la vie privée.
La CNIL veut approfondir l'investigation relative à la diffusion de messages antérieurs à 2009 à travers la timeline sur les comptes Facebook.
Fleur Pellerin, ministre de l’Economie numérique, met la pression sur Facebook. La CNIL veut "clarifier les conditions et la portée de cette mise en ligne" (bonus vidéo).
Facebook devra fournir des explications "claires et transparentes" au gouvernement et à la CNIL face à la polémique qui gonfle à propos des anciens messages qui remontent sur la timeline.
La CNIL a adressé un avertissement à Fnac Direct en charge du site de commerce électronique de l'enseigne. Motif : des lacunes dans la protection des données des clients.
Google reconnaît avoir conservé, sur les serveurs de Street View, des données confidentielles aspirées sur les réseaux Wi-Fi et qu'il lui incombait d'effacer des suites d'une décision de justice.