Des services de renseignement comme la NSA (USA) ou le GCHQ (UK) peuvent casser les codes de la plupart des messages chiffrés qui passent sur le Net. Des médias appellent à la vigilance.

Des services de renseignement comme la NSA (USA) ou le GCHQ (UK) peuvent casser les codes de la plupart des messages chiffrés qui passent sur le Net. Des médias appellent à la vigilance.
Aux Etats-Unis, le monde du renseignement montre un peu de transparence au regard des débats publics qui éclatent sur la question du cyber-espionnage. Mais il existe des limites.
Le Monde enquête sur l'existence "a-légale" d'une vaste plateforme d'interception des communications électroniques exploitée par le renseignement français. Et son fonctionnement est plus obscur que le modèle Prism aux Etats-Unis.
Les grandes oreilles du NSA, à travers le programme de cyber-écoutes Prism, provoquent une nouvelle vague de contestation en Europe, après de nouvelles révélations de l'hebdomadaire allemand Der Spiegel.
Bruxelles et le Parlement européen insistent pour avoir des précisions sur le mécanisme Prism de cyber-écoute massive du Net au nom de la NSA.
NSAgate (suite) : Le technicien du renseignement américain, à l'origine de la fuite sur la vaste plateforme de cyber-écoutes, a disparu. Et une organisation qui défend les libertés civiles porte plainte pour atteinte à la constitution.
Edward Snowden, technicien qui a servi de principale source pour dévoiler Prism (un vaste programme de cyber-écoute sur Internet de la NSA), dévoile ses motivations pour le "bien public".
La révélation de Prism provoque des remous. Cette méga-plateforme d'écoutes électroniques, exploitée par le renseignement américain, aurait un accès direct aux serveurs des plus grandes firmes Internet (Google, Microsoft, Facebook...). ...
Une proposition de loi favorisant la surveillance par le FBI des internautes par un système de backdoors prête à polémique aux Etats-Unis. Les grands groupes de l’Internet (Google, eBay, Amazon...) protestent.