La justice australienne a condamné Google pour diffamation, estimant qu’en sa qualité d’éditeur, il est responsable des contenus hébergés sur ses services.
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La justice australienne a condamné Google pour diffamation, estimant qu’en sa qualité d’éditeur, il est responsable des contenus hébergés sur ses services.
En référé, le ministère de l'Intérieur voulait supprimer des pages jugées diffamatoires d'un "site d'information contre les violences policières". Le juge ordonne la supension totale en attendant une décision au fond.
Univers Freebox fait état de tentatives audacieuses de SFR pour récupérer des clients Free par voie de téléprospection. Le premier opérateur dément, le second ne fait (presque) pas de commentaires.
Dans son rapport semestriel sur la "transparence", Google analyse les demandes de suppression de contenus. Les Etats-Unis et le Royaume-Uni sont très actifs.
Impliquée dans une affaire de corruption de mineure, une personne a obtenu du TGI de Paris le retrait de suggestions diffamatoires via la fonction Google Suggest du moteur.
Une cour de justice new-yorkaise a contraint Google à fournir l'identité d'un blogueur qui aurait tenu des propos jugés diffamatoires par la plaignante, un mannequin australien.