The Guardian révèle l'existence du programme Dishfire de la NSA ou comment aspirer 200 millions de SMS par jour en vue d'un traitement analytique.

The Guardian révèle l'existence du programme Dishfire de la NSA ou comment aspirer 200 millions de SMS par jour en vue d'un traitement analytique.
Vie privée et réseaux d'anonymisation, fraude bancaire et monnaies virtuelles, vols de code source et portes dérobées : Kaspersky Lab dresse un panorama des principales tendances de la sécurité IT en 2014.
Le P-DG de Wallix (gestion des identités, traçabilité des accès) revient sur le développement des activités de sa société de plus en plus ancrée à l'international. Interview réalisée en octobre 2013.
Un document exfiltré par le lanceur d'alertes Edward Snowden démontre que l'Agence nationale de sécurité américaine (NSA) est en mesure de casser l'algorithme de chiffrement A5/1 appliqué aux communications GSM.
Un document exfiltré par Edward Snowden révèle que la NSA se livre à la collecte massive de données relatives à la géolocalisation des téléphones mobiles.
DigiWorld : Tristan Nitot revient sur le développement de Firefox OS, sur l'exploitation jugée abusive des données persos par des groupes Internet et sur la défiance vis-à-vis du numérique avec les révélations d'Edward Snowden.
DigiWorld : Tristan Nitot revient sur le développement de Firefox OS, sur l'exploitation jugée abusive des données persos par des groupes Internet et sur la défiance vis-à-vis du numérique avec les révélations d'Edward Snowden.
De passage à Hong-Kong, le président de Google se montre scandalisé par les pratiques de cyber-espionnage de la NSA mais aussi par la censure en Chine.
Accusé de faciliter l'accès à leurs réseaux de données pour le compte de la NSA, un collectif réunissant Google, Apple, Microsoft, Facebook, Yahoo et AOL interpelle le Congrès pour ouvrir un "débat public éclairé".
Pierre Omidyar, créateur d'eBay (né en France), et Glenn Greenwald, ex-journaliste du Guardian qui a révélé l'affaire Snowden, vont lancer un nouveau média.
Dans le cadre du programme PRISM, la NSA collecterait des listes de contacts de webmail. Gmail, Yahoo, et d'autres grands noms seraient concernés.
Des services de renseignement comme la NSA (USA) ou le GCHQ (UK) peuvent casser les codes de la plupart des messages chiffrés qui passent sur le Net. Des médias appellent à la vigilance.
Le consultant informatique au coeur de l'affaire Prism (révélation sur les cyber-écoutes de la NSA) obtient officiellement l'asile politique en Russie. Vkontakte (le "Facebook" russe) est prêt à l'embaucher.
Aux Etats-Unis, le monde du renseignement montre un peu de transparence au regard des débats publics qui éclatent sur la question du cyber-espionnage. Mais il existe des limites.
La FIDH et la LDH portent plainte contre X devant le TGI de Paris pour atteinte à la vie privée. Prism "constitue un danger considérable pour les libertés individuelles".
Des milliers d'entreprises high-tech informeraient le renseignement américain des failles de sécurité présentes dans les logiciels qu'elles fournissent aux gouvernements tiers.
Le lanceur d'alertes issu de la NSA, qui a révélé un vaste programme de cyber-écoute, pourrait trouver asile en Equateur. Tout comme Julian Assange, fondateur de WikiLeaks.
NSAgate (suite) : Le technicien du renseignement américain, à l'origine de la fuite sur la vaste plateforme de cyber-écoutes, a disparu. Et une organisation qui défend les libertés civiles porte plainte pour atteinte à la constitution.