Le G20 laisse entrevoir un possible accord sur la fiscalité du numérique « d'ici à 2020 ». Une position commune est pour l'heure loin d'être établie.

Le G20 laisse entrevoir un possible accord sur la fiscalité du numérique « d'ici à 2020 ». Une position commune est pour l'heure loin d'être établie.
Sur fond de révision de la directive européenne contre le blanchiment et le financement du terrorisme, Bruno Le Maire enjoint le G20 à aborder la régulation du bitcoin.
Pour la première fois, le G20 étudiait les enjeux du numérique lors d’une réunion au niveau ministériel. Mais la France n'a pas brillé à ce rendez-vous.
Au nom du G20, l’OCDE publie une série de recommandations pour lutter contre l’évasion fiscale de la part des multinationales. Là aussi, les Géants du Web savent innover.
A Moscou, le G20 veut limiter les abus liés à l'optimisation fiscale (les champions du Web en sont friands) et engranger de nouvelles recettes d'Etat. L'OCDE présente un plan dans ce sens.
Selon la ministre de l'Economie numérique, le système est obsolète en raison de l'optimisation fiscale. L'OCDE et le G20 planchent aussi.
Un rapport gouvernemental émet l'idée d'une taxation sur la détention de données personnelles, "le pétrole de l'économie de l'immatériel" pour des acteurs comme Google, Facebook, Amazon ou Apple.
Le Président de la République veut profiter des vitrines G8 et G20 pour avancer sur "l'Internet civilisé qui est l'intérêt de tout le monde" et sur la question des droits d'auteurs.
La régulation du World Wide Web sera l'un des thèmes forts du sommet de Deauville en mai. Au menu : "lutte contre le terrorisme ou la pédophilie, droit à l'oubli".