Par voie d'enchères, Google récupère la gestion du gTLD ".app" pour 25 millions de dollars. Pour quoi faire ?
![google-gtld-point-app](https://www.itespresso.fr/wp-content/uploads/2015/02/google-gtld-point-app-120x90.jpg)
Par voie d'enchères, Google récupère la gestion du gTLD ".app" pour 25 millions de dollars. Pour quoi faire ?
L'autorité gestionnaire du nommage sur Internet considère qu'une extension de premier niveau faisant référence à un pays - comme le .fr - ne peut faire l'objet d'une saisie.
Après la Ville de Paris le 4 juin dernier, la Région Bretagne active à son tour l'extension générique de nom de domaine dont elle a négocié l'exploitation auprès de l'ICANN.
Axelle Lemaire exhorte l'organisme gestionnaire du nommage sur Internet à revoir les conditions d'octroi de l'extension générique .vin afin de garantir la protection des indications géographiques.
Marques, associations, start-up : ils sont 100 ambassadeurs du .paris, dont l'exploitation a démarré ce 4 juin dans le cadre de la libéralisation des extensions de domaines génériques supervisée par l'ICANN.
Google, qui avait sollicité, en juin 2012, l'ouverture de noms de domaines "dotless" (c'est-à-dire sans extension générique apparente), voit sa demande rejetée par l'ICANN.
L'ICANN a validé les dossiers de candidatures pour l'émergence d'extensions gTLD ".bzh" et ".paris" dont la supervision technique est assurée par l'AFNIC (qui gère la zone ".fr").
Cet expert du nommage Internet, membre de l'ICANN, revient sur le processus de libéralisation des extensions génériques (gTLD en anglais), un an après son démarrage.
L'administration américaine a renouvelé le mandat de l'organisation de droit californien pour la gestion des serveurs racines (IANA) essentielle à la stabilité du système des noms de domaine.
L'ICANN a reçu 1930 dossiers de candidats pour gérer des nouveaux suffixes émanant de groupements pros, de marques ou de groupes IT. Une grosse machine se met en branle sur le marché des noms de domaine.
".google", ".youtube", ".docs" ou ".lol"...Google veut constituer un portefeuille d'extensions génériques dans le cadre de la libéralisation des gTLD sous la houlette de l'ICANN.
Starting Dot affiche ses ambitions dans la gestion des nouvelles extensions (gTLD) en lien avec la libéralisation organisée par l'ICANN. La jeune pousse française veut aussi gérer le ".fr".
Le registre français s'implique dans le processus ICANN de libéralisation des extensions génériques (gTLD). Il évalue à une fourchette entre 20 et 25 organisations en France susceptibles de déposer un dossier.
VeriSign recense 5 millions de noms de domaines enregistrés au cours du T2 2011. Le fournisseur de services Internet américain met aussi l'accent sur la sécurité IT des PME et les gTLD libéralisés sous la houlette de l'ICANN.
De passage à Paris, son président Rod Beckstrom a présenté le lourd et onéreux processus qui permettra à une firme comme Coca-Cola d'exploiter des noms de domaine sous la forme "www.soda.cocacola".
Le système gTLD estompe les limites imposées dans le choix des extensions de sites Internet. Mais sa promulgation suscite la crainte des grandes entreprises, déjà sur la défensive pour s'accaparer certains noms de domaines.