La Commission européenne se réaffirme disposée à légiférer si les efforts des plates-formes en ligne face à la propagation de contenus haineux étaient insuffisants.

La Commission européenne se réaffirme disposée à légiférer si les efforts des plates-formes en ligne face à la propagation de contenus haineux étaient insuffisants.
La Commission européenne constate que Facebook, Twitter et YouTube ont gagné en réactivité et en efficacité pour traiter les signalements de contenus haineux.
Dans la lignée d'un projet de loi approuvé en Allemagne, le Parlement britannique suggère des mesures pour juguler les propos haineux sur Internet.
Facebook déclare scruter 30 000 comptes à l'authenticité douteuse en France et multiplie les initiatives pour limiter la propagation de fausses informations.
Le gouvernement allemand a approuvé un projet de loi visant à sanctionner les plates-formes Internet qui ne modéreraient pas efficacement les contenus haineux.
Au Royaume-Uni, Google propose des solutions pour apaiser les centaines d'annonceurs qui ne veulent plus voir leurs marques associées à du contenu indésirable.
La Commission européenne a averti les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Google) : ils risquent des amendes si la protection des internautes n'est pas renforcée.
Google va modifier l'algorithme de son moteur afin de ne plus choquer les internautes qui recherchent des infos sur des thèmes délicats comme l'Holocauste.
Facebook, Microsoft, Twitter et Google montent une base commune visant à supprimer plus vite les contenus incitant au terrorisme diffusés via les réseaux sociaux.
Pour éradiquer la propagation de messages de haine, Věra Jourová, commissaire européenne en charge de la Justice, exige que les réseaux sociaux se montrent plus vivaces.
Face à la montée du harcèlement sur Internet qui écorche la confiance avec ses membres, Twitter réagit en adoptant de nouvelles mesures.
Une procédure d'enquête est enclenchée à Munich pour savoir si Facebook est trop laxiste dans le filtrage des contributions incitant à la haine. Elle concerne le top management du réseau social.
Dans une interview au JDD, Alain Juppé lance une diatribe contre les réseaux sociaux, malgré l'usage de ce type d'outils communautaires pour la primaire de droite. Il n'est pas le seul…
Periscope va intégrer un dispositif de modération des commentaires avec l'aide des utilisateur de l'app de diffusion de vidéos en direct. C'est suffisant ?
Les contenus haineux sur Internet ne sont pas vraiment filtrés par Facebook, Twitter ou YouTube, selon une étude et un test co-réalisés par SOS Racisme, SOS Homophobie et l'UEJF.
Au nom de la lutte anti-terrorisme, Bernard Cazeneuve (Intérieur) a rencontré des dirigeants de Google, Apple, Facebook et Twitter. Quant à Christine Taubira (Justice), elle veut renforcer l’arsenal juridique.
Création du fichier PNR, contrôle du Net, procédures anti-haine via Facebook…Manuel Valls veut façonner un espace Internet français plus sûr. Au détriment de nos libertés ?
Depuis l'assaut sur Charlie Hebdo, le ministère de l'Intérieur a recensé 3721 messages incitant au terrorisme via les réseaux sociaux. En Alsace, un auteur présumé est rattrapé par la justice.
Comment gérer la modération des commentaires sur les sites médias et sur Facebook avec l'attentat visant Charlie Hebdo ? Netino doit gérer les priorités.
Après l'attentat qui a visé l'équipe de Charlie Hebdo, le hashtag "charlie hebdo bien fait" prête à polémique mais Twitter ne censurera pas ce fil de tweets (update).
Quelle importance donner aux commentaires sur les sites médias ? Quelle place des médias sociaux en entreprise ? Le président de Netino (agence "e-modération") répond.
A la télévision, le philosophe Alain Finkielkraut a lancé une série de diatribes contre Internet qualifié de "malédiction" ou de "monde sans foi ni loi". On n'est pas loin de l'inquisition 2.0...
Bilan du Pointdecontact.net en 2013 : l’AFA (FAI et services internet) perçoit une hausse du nombre de contenus racistes et violents qualifiés.
La récente diffusion en vidéo d'une décapitation via Faceboook a provoqué une polémique sur ce qui est acceptable ou pas. Le réseau social essaie de trouver une position circonstanciée.
La plateforme de microblogging devrait renforcer le contrôle des tweets diffusés pour éviter les dérives observées au Royaume-Uni (propos sexistes) voire en France (haine).
Dans un arrêt, la cour d'appel de Paris déboute Twitter, qui cherchait à échapper à l'obligation de communiquer des éléments permettant d'identifier des membres qui propagent des messages de haine contre les juifs.
Aujourd’hui est lancée app-Licra, la première application contre le racisme. En géolocalisant les tags racistes, ou en permettant de trouver les moyens de se défendre, cette application devient le cheval de bataille IT de la lutte anti ...
La direction du réseau social reconnaît les limites du dispositif de contrôle actuel pour endiguer la propagation de contenus discriminatoires. "Nous devons faire mieux et nous le ferons."
L'Union des étudiants juifs de France poursuit Twitter et son président Dick Costolo au pénal. Le ménage des tweets de nature antisémite n'est pas fait correctement, malgré les engagements pris devant la justice française.
Le tribunal de grande instance de Paris a ordonné à Twitter d'identifier les auteurs de messages racistes ou antisémites. Une analyse du cabinet Lavoix, spécialiste de la propriété industrielle.