Dans le procès des hastags incitant à la haine raciale, le TGI de Paris ordonne à Twitter de transmettre les éléments permettant d'authentifier les auteurs de tweets nauséabonds.
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Dans le procès des hastags incitant à la haine raciale, le TGI de Paris ordonne à Twitter de transmettre les éléments permettant d'authentifier les auteurs de tweets nauséabonds.
Selon la ministre de l'Economie numérique, Twitter ne peut pas se protéger derrière la liberté d'expression à l'américaine dans un procès en France pour incitation à la haine raciale (bonus vidéo).
Poursuivi par l'UEJF devant le TGI de Paris, Twitter considère que la justice américaine doit d'abord être saisie sur la question de la protection de l'anonymat.
L'Union des étudiants juifs de France (UEJF) exprime sa colère vis-à-vis d'un nouveau mot-clé incitant à la haine raciale sur Twitter.
Les associations UEJF et J'accuse assignent Twitter en France. Elles veulent retrouver qui se cachent derrière des comptes Twitter qui diffusent des messages à connotation antisémite.
A la demande pressante de l'Union des étudiants juifs de France, Twitter va effacer une série de tweets de nature antisémite. Mais cela risque de ne pas suffire.
Malgré les efforts fournis pour éviter la propagation, la vidéo du reportage choc de TF1 sur les enregistrements audio du terroriste circule encore sur le Net…
Le Conseil des ministre a examiné ce matin un projet de loi relatif à la prévention et la répression du terrorisme. Le CNNum a scruté les mesures portant sur le volet Web.
Sanctionner les personnes consultant des sites Internet qui font l’apologie du terrorisme. Ce projet prête à polémique. Pourtant, le "djihad sur la Toile" existe vraiment.
Afin d'endiguer la propagation des messages de haine, le Président de la République (et candidat à sa ré-élection) prône un délit pénal de consultation de sites Web qui font l’apologie du terrorisme.
En principe, les réseaux Copwatch utilisent Internet au nom de "la transparence contre les violences policières". Mais les forces de l'ordre et le ministère de l'Intérieur considèrent que la ligne rouge est dépassée.
Après le site Pointdecontact.net pour signaler les contenus illégaux et choquants du Net, voici la version logicielle à installer sur son poste de travail.
Les résultats de recherche sur des mots-clés comme "jew" (juif) sur Google.com peuvent choquer. Google joue la carte de la "neutralité technologique" face à la censure.