En musique, au gré d'un clip de 4 minutes aux sonorités électro, Kim Dotcom dénonce la servitude du gouvernement américain face à la dictature du copyright et exhorte les internautes à faire barrage.

En musique, au gré d'un clip de 4 minutes aux sonorités électro, Kim Dotcom dénonce la servitude du gouvernement américain face à la dictature du copyright et exhorte les internautes à faire barrage.
En Nouvelle-Zélande, le doute plane quant à l'impartialité du juge chargé du dossier Megaupload. Le magistrat, qui aurait qualifié les Etats-Unis "d'ennemi" sur le sujet du copyright, prend du recul.
En liberté surveillée en Nouvelle-Zélande, Kim Dotcom, fondateur de Megaupload, pourrait spontanément se livrer à la justice américaine au lieu d'attendre son extradition (pas avant mars 2013).
La justice néo-zélandaise devait se prononcer en août prochain quant à l'extradition de Kim Dotcom. Finalement, l'audience est repoussée à mars 2013.
Dans le prolongement de la coupure de Megaupload en janvier, le mandat émis pour la perquisition au domicile du fondateur Kim Dotcom en Nouvelle-Zélande était illégale, estime une haute juridiction locale.
MegaBox, cette plate-forme de diffusion musicale comparable à iTunes, trotte toujours dans l'esprit de Kim Dotcom, qui annonce son lancement imminent.
Aux Etats-Unis, la MPAA, qui représente les studios d'Hollywood, se déclare favorable à ce processus permettant aux membres de feu Megaupload de récupérer leurs données. En théorie car dans la pratique...
Megaupload et son fondateur Kim Dotcom vont prendre connaissance des preuves accumulées par le FBI. Ses avocats demandent l’abandon des charges pénales.
Une étude Idate-Hadopi tente de déterminer le business des sites de téléchargement direct et de streaming illégaux en France. Le niveau serait similaire à celui réalisé par les offres vidéos légales.
L'industrie cinématographique américaine redoute une remise sur pied de Megaupload et en appelle à la clairvoyance des autorités quant aux demandes de Kim Schmitz.
La plate-forme d'hébergement de fichiers est déclarée légale en Allemagne. Mais il faudra surveiller les fichiers illégaux placés en partage sur le Net. RapidShare veut que la Cour suprême tranche sur ce point.
L'Observatoire du livre et de l'écrit en Ile-de-France note une forte recrudescence de l'offre illégale d'e-books, néanmoins sans commune mesure avec les contenus tels la musique et les films.
En Nouvelle Zélande, une erreur de procédure risque d'entacher la saisie des biens de Kim Schmitz (cofondateur de Megaupload). La défense pourrait exploiter la faille si la mauvaise foi des forces de police est avérée.
Megaupload était le plus important service d'hébergement de fichiers du Net avant sa fermeture. Un outil populaire au cœur même du gouvernement américain, qui n'a pourtant pas hésité à le fermer.
La Hadopi a publié une étude montrant que la fermeture du site de téléchargement et de streaming Megaupload a permis une hausse de 26% de l'audience de la catch-up TV et la VoD en France.
Les Etats-Unis ont officialisé ce dimanche leur demande d'extradition de Kim Schmitz, fondateur de Megaupload. La justice néo-zélandaise devrait examiner cette demande en aout 2012.
Selon une étude IFOP/Clubic, la fermeture de Megaupload a eu un impact important sur les "pirates occasionnels" mais elle est plus limitée sur les "gros téléchargeurs".
Assigné à résidence en Nouvelle-Zélande et placé sous contrôle judiciaire, le co-fondateur de Megaupload bénéficie d'une liberté conditionnelle en l'attente d'une audience fixée au 20 août.
L'hébergeur de fichiers RapidShare a décidé de s'attaquer aux contenus illégaux sur sa plate-forme pour éviter de subir un sort similaire à celui de Megaupload.
Fondateur de Megaupload, Kim Schmitz jouit désormais d'une liberté sous caution. Assigné aux environs de sa résidence de Coatesville (Nouvelle-Zélande), il n'est pas à l'abri d'une extradition vers les Etats-Unis.
La justice américaine précise ses accusations contre les fondateurs de Megaupload, et publie des détails sur l'utilisation du site avant sa fermeture.
Depuis la fermeture du site Megaupload le 20 janvier dernier, les chaînes de TV françaises ont constaté que leurs plates-formes de catch-up TV et de VoD connaissent une forte croissance d’audience.
Ce 6 février, l'annuaire de liens Torrent BTJunkie ferme ses portes après six ans et demi d'exercice. La fermeture subite de Megaupload a précipité cette chute.
Accusé de piratage, le co-fondateur de la plate-forme de streaming reste en prison en Nouvelle-Zélande. Un faussaire de cartes d'identité aurait cherché à le contacter.
L'Electronic Frontier Foundation (défense des libertés sur le Net) et Carpathia (hébergement) ont mis en ligne MegaRetrieval. Ils veulent aider les utilisateurs de Megaupload à récupérer leurs données.
La justice américaine a annoncé que les données hébergées par la plate-forme de streaming seront détruites à partir de cette semaine. Mais il restera des traces pour les poursuites judiciaires.
La justice néo-zélandaise a décidé de refuser à Kim Schmitz la libération sous caution, mais l'a accordée à deux des autres cadres du site arrêtés le 20 janvier dernier.
La justice de la Nouvelle-Zélande refuse de libérer le co-fondateur de Megaupload accusé de piratage. Les risques de fuite sont trop grands. Et les Etats-Unis demandent son extradition.
Les autorités américaines étant restées insensibles à l'ultimatum lancé à leur encontre, suite à la fermeture du service MegaUpload, les Anonymous ont mis leurs menaces à exécution et s'en sont pris au site Internet de Vivendi.
La chute de l'empire Megaupload fait des vagues : son co-fondateur Kim Schmitz tente de sortir de prison, les attaques Anonymous se poursuivent et des plates-formes similaire prennent peur