Google, Facebook, Netflix, Dropbox…Une délégation de personnalités Internet a été reçue à la Maison Blanche pour dénoncer la cybersurveillance massive de la NSA et appeler à plus de transparence.

Google, Facebook, Netflix, Dropbox…Une délégation de personnalités Internet a été reçue à la Maison Blanche pour dénoncer la cybersurveillance massive de la NSA et appeler à plus de transparence.
Dans un contexte de vives tensions autour du programme de cyber-espionnage PRISM, Google a décidé de forcer la connexion HTTP sécurisée sur son service de messagerie électronique Gmail.
CEO de Google, Larry Page appelle le renseignement américain à davantage de transparence concernant le programme de cyber-espionnage PRISM.
Des documents exfiltrés par Edward Snowden font la lumière sur le dispositif de cyber-surveillance Mystic, exploité par la NSA pour enregistrer et archiver la totalité des appels téléphoniques dans un pays étranger.
Mark Zuckerberg a contacté Barack Obama pour exprimer sa colère vis-à-vis des pratiques de la NSA qui espionnent les membres de Facebook. La confiance dans le numérique est-elle ébranlée ?
Nouvelles révélations d'Edward Snowden : la NSA a élaboré le programme quasi-industriel Turbine visant à espionner en masse les ordinateurs du monde entier.
L'Agence nationale de sécurité américaine (NSA) a collaboré avec son homologue britannique (GCHQ) pour collecter des millions d'images via les webcams des utilisateurs Yahoo dans le cadre du programme Optic Nerve.
A l'appel du président Obama, les services du renseignement américain et le département de la Justice auraient suggéré quatre mesures visant à restructurer le programme de cyber-surveillance de la NSA.
Sylvain Defix de NTT Com Security fait le bilan des effets du programme PRISM sur les sociétés françaises et en tire certaines recommandations.
Le 20e édition du baromètre Orange/Terrafemina sur les usages Internet décrit des Français majoritairement résignés face à la surveillance généralisée des échanges sur le Web.
Au nom du droit à la vie privée, une coalition de groupes activistes, d'entreprises IT et d'organisations mène, ce 11 février, un mouvement mondial et pacifiste contre la surveillance de masse sur Internet.
Plusieurs outils banalisés parmi lesquels des robots d'indexation auraient suffi à l'ancien consultant Edward Snowden pour subtiliser à la NSA 1,7 million de documents classifiés.
Avec l'aval de l'administration Obama, Google, Microsoft, Yahoo, Facebook et LinkedIn ont réactualisé leurs "rapports de transparence" détaillant la teneur de leurs relations avec le renseignement américain en matière de cyber-surveill ...
Mikael Hed, CEO of Rovio (éditeur d'Angry Birds), dément toute collaboration avec la NSA ou le GCHQ. Il suggère que les réseaux publicitaires sur Internet constitue le maillon faible facilitant le cyber-espionnage.
L'administration Obama a trouvé un terrain d'entente avec les entreprises IT, qui vont pouvoir en dévoiler davantage sur leurs relations avec le renseignement américain en matière de cyber-surveillance.
Plusieurs documents exfiltrés par Edward Snowden révèlent que l'Agence nationale de sécurité américaine (NSA) se livre, depuis 2007, à des collectes massives de données via les applications mobiles, en collaboration avec son homologue ...
En participant à une session live chat depuis la Russie, Edward Snowden poursuit sa croisade contre la cyber-surveillance de masse supervisée par les agences de renseignement américains.
Jeudi soir, Edward Snowden devrait participer à une session de live chat public organisé par son site de soutien. Les internautes peuvent poser des questions via Twitter.
Microsoft, Yahoo et Cisco appellent le gouvernement américain à faire preuve de plus de transparence quant aux collectes massives de données orchestrées par la NSA dans le cadre de son programme de surveillance électronique.
Selon Le Monde, le directeur de l'ANSSI prendrait des fonctions de directeur technique de la Direction générale de la sécurité extérieure au coeur des écoutes électroniques et du renseignement français.
Dans une directive présidentielle, le Président des Etats-Unis fait évoluer le cadre du renseignement et du cyber-espionnage vers davantage de transparence. Mais l'exercice a ses limites.
The Guardian révèle l'existence du programme Dishfire de la NSA ou comment aspirer 200 millions de SMS par jour en vue d'un traitement analytique.
La NSA serait en mesure de pénétrer dans des ordinateurs non connectés, d'aspirer des données, d'installer des spyware et de créer des botnets pour lancer des cyber-attaques.
Bonne année à nos "télénautes" ! IT.Week revient avec des sujets tendances CES et un peu de NSA qui aime bien visiter les équipements réseaux.
Les rédactions de NetMediaEurope vous souhaitent une bonne année 2014 avec cette première ITweek présentée par Jérôme Bouteiller, directeur des rédactions Europe. Gérard Clech, rédacteur en chef de ChannelBiz évoquera l'hypothétique fi ...
Vie privée et réseaux d'anonymisation, fraude bancaire et monnaies virtuelles, vols de code source et portes dérobées : Kaspersky Lab dresse un panorama des principales tendances de la sécurité IT en 2014.
La NSA exploiterait un logiciel d'espionnage pour surveiller les communications via l'iPhone. Apple assure ne pas connaître l'existence d'un tel programme.
Orange va se constituer partie civile dans le dossier relatif aux cyber-écoutes de la NSA, notamment celles réalisées via le câble télécoms sous-marin SEA-ME-WE4. Il ira plus loin si les tentatives d'interception sont avérées.
L'agence de renseignement américaine NSA a piraté le câble télécoms sous-marin SEA-ME-WE-4, qui transite entre plusieurs plaques régionales (Europe, Moyen-Orient, Asie). Un point de connexion est géré par Orange depuis Marseille.
Un document exfiltré par le lanceur d'alertes Edward Snowden démontre que l'Agence nationale de sécurité américaine (NSA) est en mesure de casser l'algorithme de chiffrement A5/1 appliqué aux communications GSM.