A propos des écoutes réalisées par la NSA via des lignes Verizon, un tribunal fédéral a évoqué une "infraction à la vie privée" voire une atteinte à la Constitution.

A propos des écoutes réalisées par la NSA via des lignes Verizon, un tribunal fédéral a évoqué une "infraction à la vie privée" voire une atteinte à la Constitution.
Un collectif de huit entreprises IT américaines (Apple, Google, Microsoft, Facebook, Yahoo, AOL, Twitter et LinkedIn) réclame une révision des méthodes de cyber-surveillance exploitées par la NSA.
Brad Smith, avocat général de Microsoft, assure que l'éditeur n'a pas l'intention d'assister la NSA dans ses opérations d'espionnage.
Un document exfiltré par Edward Snowden révèle que la NSA se livre à la collecte massive de données relatives à la géolocalisation des téléphones mobiles.
Pour éviter les risques de cyber-écoute massive à son insu, Microsoft veut renforcer son dispositif de sécurité IT liés à l'échange de flux de données entre data centers.
L'Agence nationale de sécurité américaine (NSA) aurait infiltré plus de 50 000 réseaux informatiques à travers le monde en y injectant des logiciels malveillants.
Pour couper court aux écoutes massives de la NSA, Yahoo compte mettre en place un système de chiffrement SSL 2048 bits. L'implémentation sera effective sur tous les servies du groupe Internet d'ici la fin du 1er trimestre 2014.
Liée à l'espionnage de réseaux Wi-Fi à travers le monde, l'affaire Google Street View refait parler d'elle au Brésil, dans un contexte d'incertitude après les révélations autour du programme d'écoutes électroniques PRISM.
Évoquant une menace pour l'Internet 'ouvert' et l'industrie du cloud, Google a sollicité, auprès du Congrès américain, une réforme urgente de la législation sur la confidentialité des communications.
Au premier trimestre 2013, Facebook a reçu, de la part des autorités européennes, 8 500 demandes d’informations personnelles portant sur 10 000 comptes utilisateurs.
De passage à Hong-Kong, le président de Google se montre scandalisé par les pratiques de cyber-espionnage de la NSA mais aussi par la censure en Chine.
Accusé de faciliter l'accès à leurs réseaux de données pour le compte de la NSA, un collectif réunissant Google, Apple, Microsoft, Facebook, Yahoo et AOL interpelle le Congrès pour ouvrir un "débat public éclairé".
La NSA a collecté, dans le cadre du projet Muscular, des centaines de millions de données d'utilisateurs en exploitant une faille dans le mode d'interconnexion des data centers de Google et Yahoo.
Plusieurs milliers de personnes ont participé, ce week-end, à la marche de protestation organisée à Washington contre les écoutes de la NSA.
Lors du Conseil européen, le Président de la République a évoque la cyber-sécurité : NSA, sécurisation de son téléphone portable, espionnage industriel, cyber-attaque de l'Elysée...
Selon Jean-François Beuze, président de Sifaris, les écoutes du programme PRISM de la NSA n'ont rien d'étonnant. Il faut en priorité s'interroger sur la manière d'encadrer les pratiques de cloud et du big data.
Le cyberespionnage américain n'a pas de limites, selon une enquête du Monde. Des millions de Français sont écoutés ainsi que des grandes entreprises françaises comme Orange et Alcatel-Lucent.
Dans le cadre du programme PRISM, la NSA collecterait des listes de contacts de webmail. Gmail, Yahoo, et d'autres grands noms seraient concernés.
A peine livré, un méga-centre de données de l'agence américaine de renseignement rencontre des soucis techniques majeurs au point d'interrompre l'exploitation.
Dans le cadre de son programme d'espionnage électronique PRISM, l'Agence nationale de sécurité américaine n'aurait que partiellement réussi à déjouer le réseau d'anonymisation Tor.
Selon son directeur Keith Alexander, l'Agence nationale de sécurité (NSA) aurait, entre 2010 et 2011, mené un programme d'espionnage visant à collecter la position des téléphones mobiles des citoyens américains.
Le premier opérateur télécoms belge a fait la lumière sur les attaques informatiques dont il a été victime. Les investigations s'orientent vers une opération d'espionnage étatique. La NSA est soupçonnée au premier chef.
Le renseignement américaine aurait monté un groupe de travail dédié à l'espionnage des transactions bancaires et des bases de données des émetteurs de cartes.
Dans le cadre de son programme d'espionnage électronique PRISM, la NSA surveillerait Android, iOS et BlackBerry.
Le groupe Internet accélère le déploiement d'un programme visant à blinder le chiffrement des données transitant entre ces data centers. Pour éviter le cyberespionnage de masse.
Dans la lignée des révélations autour du programme d'espionnage électronique PRISM, Yahoo a publié un rapport 'de transparence' synthétisant les requêtes formulées par les États pour obtenir des données sur les internautes.
Des services de renseignement comme la NSA (USA) ou le GCHQ (UK) peuvent casser les codes de la plupart des messages chiffrés qui passent sur le Net. Des médias appellent à la vigilance.
Le ministère des Affaires étrangères aurait été, au même titre que les représentations diplomatiques françaises à New York et Washington, espionné par le renseignement américain.
Après la plainte déposée par deux organisations des droits de l'homme (FIDH et LDH), le parquet de Paris ouvre une enquête préliminaire sur le le programme de cyber-surveillance de la NSA.
Des responsables de la NSA auraient affirmé que leur agence est en mesure de surveiller près de 75% du trafic Internet aux Etats-Unis. Un fait dérangeant dans le pays quand les citoyens sont censés être protégés de ce genre de pratique ...