À l'heure où Moscou songe à créer une cryptomonnaie nationale, la Banque centrale russe resserre l'étau sur les plates-formes d'échange de bitcoins.

À l'heure où Moscou songe à créer une cryptomonnaie nationale, la Banque centrale russe resserre l'étau sur les plates-formes d'échange de bitcoins.
Comme Facebook et Twitter, Google n'aurait pas échappé à l'ingérence russe sur les plates-formes Internet lors de la campagne présidentielle aux États-Unis.
Washington tente de faire la lumière sur la façon dont Moscou a utilisé le canal Facebook pour influencer l'issue des dernières présidentielles.
Facebook prend des engagements pour éviter que son réseau social soit exploité abusivement à des fins politiques.
Uber va fusionner, en Europe de l'Est, ses services avec ceux de Yandex dans le cadre d'une coentreprise dont le groupe russe détiendra la majorité.
Pour continuer à exploiter Android en Russie, Google fait des concessions à l'autorité de la concurrence, au terme de deux ans d'enquête.
La sanction de blocage de LinkedIn en Russie perdure. Le réseau social pro refuserait toujours d'héberger les données de ses membres russes sur le territoire national.
Les autorités russes se montrent fermes à propos de la coupure de l'accès à LinkedIn sur le territoire. Mais Microsoft (nouveau propriétaire du réseau social BtoB) risque encore plus gros.
L'administration Obama déclassifie un nouveau rapport pour tenter de démontrer l'ingérence russe dans la campagne présidentielle et son influence sur le vote.
Des « documents Snowden » suggèrent que la NSA a les capacités de réunir des preuves irréfutables de l'ingérence russe dans la présidentielle américaine.
La course à la Maison Blanche a été marquée par une série de cyber-attaques attribuées à la Russie. Sans parler des canaux de désinformation.
Les autorités russes ont coupé l'accès à LinkedIn, sous prétexte que les données persos des membres du réseau social BtoB doivent rester dans le pays.
L'autorité russe de la concurrence a infligé à Google une amende de 6 millions de dollars en raison de la domination d'Android sur les OS mobiles.
Aux États-Unis, le Comité national démocrate a subi deux attaques informatiques, dont l'une a exposé des recherches effectuées sur Donald Trump.
La condamnation de Google en Russie pour abus de position dominante avec Android a été confirmée en appel. Quels recours reste-t-il au groupe Internet ?
Repéré au dernier Mobile World Congress pour son très réussi smartphone à double écran, le russe Yota Devices a été racheté la semaine dernière par la société chinoise Rex Global Entertainement, basée à Hong Kong.
Les autorités russes de la concurrence ont tranché : Google est dans l'illégalité en imposant aux constructeurs de terminaux Android l'installation de Google Search.
Annoncé il y a moins d’un an, le processeur Baikal russe est désormais officiel. Il devrait équiper des ordinateurs personnels et des microserveurs en Russie.
L'impulsion commerciale donnée par la 4G ne suffira pas, selon GfK, à empêcher un affaiblissement de la croissance sur le marché mondial des smartphones en 2015.
La société russe Elvees-NeoTek a développé une puce destinée à la vidéosurveillance et qui permettrait d’analyser directement les images saisies, sans recours à l’œil humain.
L'enquête sur la cyber-attaque subie par plusieurs institutions américaines s'oriente vers la piste russe. Une opération de phishing en serait à l'origine.
En collaboration avec l'agence Ob'vious, Numa, la "pépinière accélératrice de start-up" de Paris, va disposer d'un espace de co-working dans le quartier d'affaires moscovite.
L'ex-consultant BCG devenue en 2011 la CEO d'Ozon (groupe qualifié d'Amazon russe) quitte la société pour rejoindre une autre firme hors du pays.
Google effectuerait un retrait partiel de Russie à cause des pressions politiques et du coup de frein sur les libertés numériques. Plus compliqué, selon East-West Digital News
Selon un chercheur en sécurité, l'un des nœuds constitutifs du réseau d'anonymisation Tor a été détourné pour injecter du code malveillant dans des fichiers.
Des pirates russes auraient exploité une vulnérabilité "inconnue" dans Windows pour espionner plusieurs organisations dont l'OTAN et l'Union européenne.
L'éditeur américain Proofpoint fait la lumière sur une cyber-attaque qui a permis à des pirates russes de récupérer les données associées à plus de 800 000 transactions bancaires en ligne.
Après des tensions entre actionnaires, Vkontakte, le réseau social que l'on présente comme le Facebook russe, entre intégralement dans le portefeuille du groupe Internet Mail.ru.
La Russie lance un appel d'offres, avec à la clé une récompense de 110 000 dollars, visant à pénétrer le réseau anonyme Tor afin d'obtenir des infos sur ses utilisateurs.
Trend Micro a mis le doigt sur une campagne de cyber-attaques ultra-sophistiquées visant à déjouer les systèmes de double authentification des services bancaires en ligne.