Pas de trace, dans la loi de finances 2017 publiée ce 30 décembre au JO, de la « taxe Google » portée par Yann Galut. Le Conseil constitutionnel l'a censurée.

Pas de trace, dans la loi de finances 2017 publiée ce 30 décembre au JO, de la « taxe Google » portée par Yann Galut. Le Conseil constitutionnel l'a censurée.
Günther Oettinger, commissaire européen chargé du numérique, veut réintroduire l’idée d’instaurer au niveau européen une « taxe Google » à reverser aux éditeurs de presse en ligne. Pas si simple…
Lors de sa rencontre ce 29 octobre avec Eric Schmidt, le président exécutif de Google, François Hollande a souligné, que, faute d’accord avec les éditeurs de presse français, une loi sur l’instauration d’un « droit voisin » pourrait vo ...
Des organisations de presse poussent à la rétribution des articles de presse indexés dans les moteurs. Google rejette ce projet. Le gouvernement joue un rôle d'arbitre et de médiateur.
Alors que le spectre d'une "taxe Google" refait surface avec le nouveau gouvernement, Jean-Marc Tasseto, Directeur Général de Google France, a tenu à rappeler l'engagement de sa société dans l'économie nationale…
Marc Schillaci tient à marquer son opposition à la nouvelle "Taxe Google" du sénateur Marini. Quels impacts sur le commerce électronique si le dispositif est adopté ?
Le P-DG d’Oxatis (plateforme de conception de sites e-commerce) voit d’un très mauvais œil le retour de la "taxe Google" suggérée par le sénateur Marini.
Au nom de "l'équité fiscale", le sénateur Philippe Marini (Oise, UMP) relance une série de propositions pour taxer les acteurs du numérique, français et internationaux. L'ASIC et la FEVAD montent au front.
Selon la Fédération Française des Télécoms, les grands acteurs du Web, surfant sur l'optimisation fiscale au niveau européen, doivent faire l'objet d'une taxation au niveau national.
Philippe Marini, Président de la commission des Finances du Sénat, veut proposer une nouvelle mouture de sa proposition de loi "taxe Google". Un colloque a donné lieu à un brainstorming sur ce thème.
Le CNNum dresse un bilan de six mois d'activité (Paquet Telecom, JEI, Taxe Google...) et dresse la liste des sujets prioritaires à traiter ("compétitivité", "open data" et "e-éducation").
Le Sénat a finalement choisi de supprimer la « taxe Google » sur la publicité en ligne du projet de loi de finances rectificatives pour 2011. Le CNN s’en félicite.
Supprimée par les députés en fin de semaine dernière, la "taxe Google" sur la publicité en ligne a tout de même été réintroduite par le Sénat. De son côté, le CNN publie ses propositions alternatives.
A l'Assemblée nationale, la taxe Google a été supprimée dans le cadre des dernières retouches de la loi de finances 2011. La députée UMP Laure de la Raudière est ravie de l'enterrer.
L'association dédiée à la promotion de la publicité interactive accueille avec bienveillance la création d'un Conseil national du numérique. Même si aucun membre ne figure dans sa composition.
Forum e-G8 : le président du Conseil national du numérique expose la première feuille de route de l'instance consultative "en charge d'éclairer le gouvernement sur les problématiques du numérique".
Lors des rencontres parlementaires sur l’Economie numérique, Eric Besson a milité pour une régulation partielle des réseaux et la mise à contribution financière des fournisseurs de services Internet.
Lors d’une rencontre avec Pierre Kosciusko-Morizet, Eric Besson a annoncé la création au printemps d’un Conseil national du numérique. La "taxe Google" devrait aussi être remaniée.
Sur proposition du ministre du Budget, les députés ont voté le report de l’application de la "taxe Google" sur la publicité en ligne au 1er juillet 2011, au lieu du 1er janvier prochain.
Dans la nuit de lundi à mardi, il subsistait des doutes sur le sort de la "Taxe Google" (ponction de 1% sur les annonceurs Internet installés en France). Adoption ou abandon par la CMP ? La plupart des médias tendent vers la première o ...
Philippe Marini, sénateur UMP, a préféré retirer son amendement du projet de Loi de Finances 2011 portant sur l’extension de la redevance audiovisuelle aux tablettes et ordinateurs.
Les sénateurs ont adopté l’amendement proposé par l’UMP Philippe Marini, dit "taxe Google", visant, au 1er janvier prochain, à taxer de 1% les achats de publicité en ligne.
Plusieurs associations de l’économie numérique rejettent en bloc les amendements Marini intégrés au projet de Loi de Finances 2011. Ils seraient une menace pour l’avenir du secteur français des NTIC.
Les clubs des acteurs du Web 2.0 (ASIC avec Priceminister, Google, Dailymotion...) et des annonceurs sur Internet (IAB) rejettent l'idée de taxation sur la publicité et les ventes en ligne poussée par le sénateur Philippe Marini, Rappo ...
Philippe Marini, rapporteur général de la commission des Finances du Sénat, propose une redevance audiovisuelle élargie à des appareils high-tech susceptibles de servir de récepteur télé.
Le rapporteur général de la commission des Finances au Sénat veut instaurer une ponction d'1% sur le business Internet réalisé en France par des acteurs du Net locaux ou d'envergure mondiale (Amazon, Google, eBay…).
Le ministre du Budget confirme que des pistes sont explorés pistes pour taxer davantage les offres triple play. Et la "taxe Google" a été évoquée en Allemagne.
Le gouvernement demande un "avis" sur les mécanismes de la concurrence dans le secteur "e-pub". Le Sénat adopte un amendement poussant à la création d'une nouvelle taxe dédiée.
La rédaction d'ITespresso.fr ouvre son canal Twitter avec son fil d'actu. Réagissez sur notre première question Twitter : "que pensez-vous de la Taxe Google" ?