Comment l'Etat islamique exploite l'Internet par satellite depuis la Syrie ? Une enquête du Spiegel dévoile des positions troubles des opérateurs (SES, Eutelsat et Avanti).

Comment l'Etat islamique exploite l'Internet par satellite depuis la Syrie ? Une enquête du Spiegel dévoile des positions troubles des opérateurs (SES, Eutelsat et Avanti).
Manuel Valls a consulté les acteurs du Net (Apple, Facebook, Google, Microsoft et Twitter) pour approfondir les outils de veille et les systèmes d'alerte en cas de menaces terroristes.
Le gouvernement convie Apple, Facebook, Google, Microsoft et Twitter pour évoquer la « mobilisation citoyenne » sur les plates-formes Internet après les attentats du 13 novembre.
L'hommage de la Nation aux victimes des attentats comporte un volet selfie et réseau social plus ou moins apprécié.
Entre les cartes prépayées, le crowdfunding et les monnaies virtuelles, le ministre des Finances Michel Sapin planifie un contrôle et une vigilance accrus.
Avec l'état d'urgence prolongé, le gouvernement veut bloquer les sites Web de propagande djihadiste et filtrer les contenus qui heurtent sur les réseaux sociaux.
Anonymous a supprimé des milliers de comptes Twitter pro-Daesh. Il suscite un débat de fond : comment marginaliser l'influence numérique de l'organisation terroriste ?
Nom de code de l'opération : "OpParis". Le réseau hacktiviste Anonymous veut riposter après les attentats de Paris sous forme de cyber-attaques.
Investigation, justice, armée…Le Président de la République François Hollande a souligné l'usage des technologies pour mieux appréhender la menace terroriste.
Twitter et Facebook ont servi de canaux importants pour s'informer, contacter son réseau et adresser des messages de soutiens. Mais faut-il tout accepter ?
Sur les réseaux sociaux, les internautes se mobilisent face au terrorisme. Twitter se distingue avec #PorteOuverte tandis que le bouton "safety check" activé sur Facebook marche bien.
Le FBI veut endiguer les risques de défacement des sites Web réalisés au nom du cyber-djihadisme. Mais on trouve souvent derrière juste des script kiddies.
La Turquie a procédé à un blocage temporaire de 166 sites Web (dont YouTube, Facebook et Twitter) afin d’empêcher la diffusion de photos issues d’une prise d’otages qui a marqué les esprits.
En application de la nouvelle loi antiterroriste, l'administration a ordonné, sans recours à l'autorité judiciaire, le blocage de plusieurs sites djihadistes.
Un décret précise les modalités de ce dispositif de filtrage qui vise les sites Web qui font l'apologie du terrorisme ou qui diffusent des images pornos de mineurs.
Au nom de la lutte anti-terrorisme, Bernard Cazeneuve (Intérieur) a rencontré des dirigeants de Google, Apple, Facebook et Twitter. Quant à Christine Taubira (Justice), elle veut renforcer l’arsenal juridique.
La CNIL a émis un avis réservé concernant le décret précisant la procédure dédiée au blocage administratif des sites Web faisant l'apologie du terrorisme. Points noirs concernant les moyens à mettre en oeuvre et les mesures de sécurité ...
A peine publié au Journal officiel, le décret relatif au blocage administratif de sites provoquant à des actes de terrorisme ou en faisant l'apologie essuie les critiques.
Le ministre de l'Intérieur a présenté un décret précisant la procédure qui doit permettre d'empêcher l'accès à des sites Internet "faisant l'apologie du terrorisme".
Parmi les mesures édictées par Manuel Valls pour lutter contre le terrorisme figure la création d'un site Internet public recensant les moyens de contrer l'influence des réseaux djihad.
Lors du FIC de Lille, le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a dévoilé un plan de six mesures Internet visant à mieux lutter contre le terrorisme. Les services vidéos et les réseaux sociaux doivent davantage coopérer.
Comment résorber les appels à la haine et l'apologie du terrorisme via les services vidéo et les réseaux sociaux ? Le ministère de l'Intérieur y travaille.
Après l'attentat sur Charlie Hebdo, les hacktivistes d'Anonymous veulent défendre la liberté de la pressse en visant les réseaux de djihad sur Internet. Mais ça s'emballe.
Plus de 19 000 sites Web en France sont touchés par des cyber-attaques émanant de groupuscules pirates islamistes. L'ANSSI émet des recommandations pour s'en prémunir.
Depuis la série d'attentats, YouTube et Dailymotion ont des contacts plus serrés avec la police pour filtrer les vidéos les plus violentes ou faisant l'apologie du terrorisme.
Création du fichier PNR, contrôle du Net, procédures anti-haine via Facebook…Manuel Valls veut façonner un espace Internet français plus sûr. Au détriment de nos libertés ?
Le Premier ministre britannique hausse le ton vis-à-vis des applications de messagerie instantanée qui échappent au radar des services de renseignement.
Le commandement militaire spécial Moyen-Orient (Centcom) a perdu temporairement la main sur son compte Twitter officiel au profit du groupe djihadiste EI.
De la menace à l'exécution : Anonymous cible des sites ou comptes de réseaux sociaux présumés islamistes. Mais les réseaux djihad s'activent aussi contre le Web français.
Face à la menace terroriste, la collecte des données persos va s'intensifier via un dispositif PNR. Et les "entreprises du Net" sont appelées à coopérer plus.