Après deux jours d'interruption à la suite d'un accident dans l'Arizona, les voitures autonomes d'Uber reprennent partiellement du service aux États-Unis.

Après deux jours d'interruption à la suite d'un accident dans l'Arizona, les voitures autonomes d'Uber reprennent partiellement du service aux États-Unis.
Un accident s'est produit avec l’un des véhicules autonomes d’Uber en Arizona. Aucune victime n'est à déplorer mais des interrogations demeurent sur les circonstances.
Dans une passe délicate, Uber esquisse des pistes de « changement culturel » et assure que son CEO Travis Kalanick restera en poste dans ce cadre.
Uber propose une fonction navigation améliorée dans l’app sous iOS et Android dédiée aux conducteurs.
Considéré comme le numéro deux d'Uber, Jeff Jones est, six mois à peine après son arrivée, sur le départ, pour des « divergences d'approche stratégique ».
Les tribulations d'Uber dans la conduite autonome s'illustrent avec la fuite de documents internes. L'humain doit encore régulièrement reprendre le volant.
Plusieurs organisations représentatives des chauffeurs VTC en appellent à l'État après l'échec des négociations avec Uber sur la question des tarifs.
Derrière l'exploitation légitime du logiciel Greyball par Uber se cacheraient des techniques de camouflage visant à contourner la vigilance des pouvoirs publics.
Au surlendemain des engagements de son CEO à « mûrir en tant que leader », Uber lâche du lest face aux autorités californiennes sur l'exploitation de véhicules autonomes.
Une vidéo portant sur une discussion houleuse entre Travis Kalanick et un chauffeur Uber oblige le CEO à se repentir. Sincèrement ?
A peine arrivé, Amit Singhal doit quitter ses fonctions chez Uber. Il a éludé une affaire de harcèlement sexuel du côté de son ex-employeur Google.
Uber convie les organisations représentatives de ses partenaires chauffeurs à une réunion le 15 mars prochain. Sa politique tarifaire sera au menu.
La branche Waymo d'Alphabet (maison-mère de Google) poursuit Uber et sa filiale Otto (camions sans chauffeur) pour vol présumé de technologies propriétaires.
Sur un blog, une ex-collaboratrice d'Uber dépeint son malaise après son expérience "très étrange" au sein de la firme. Le CEO Travis Kalanick allume des contre-feux.
La justice française va scruter l'usage d'Uber (transport de personnes) qui alimenterait une procédure de divorce, en raison de données de parcours diffusées par notification.
La procédure de médiation entre chauffeurs et plates-formes VTC s'achève. Uber a eu le dernier mot, sans satisfaire les revendications des organisations.
Uber se serait engagé à garantir un chiffre d'affaires mensuel de 4 200 euros aux chauffeurs connectés au moins 50 heures par semaine à sa plate-forme.
Pour porter son projet « Elevate » axé sur le transport aérien à la demande, Uber s'attache les services de Mark Moore, vétéran de la NASA.
Le CEO d'Uber ne participera pas au Conseil consultatif sur l'économie de la Maison Blanche. Son présumé soutien à Trump commençait à nuire à l'image d'Uber et au business.
Des initiatives conjointes émergent entre les groupes technologiques américains qui contestent le décret du président Trump sur l'immigration.
Uber fait l'objet d'un traitement à part dans les recommandations que le médiateur adresse aux plates-formes VTC dans le conflit face aux chauffeurs.
Fort de leurs expertises respectives, Daimler (Mercedes-Benz) et Uber vont avancer ensemble dans les technologies de conduite autonome.
Des voix s'élèvent, dans l'univers IT, contre le décret signé par le président américain au nom de la lutte antiterroriste. Des mesures sont parfois prises.
Les voitures autonomes d'Uber font leur retour à San Francisco... mais pas pour du transport de personnes. Leur usage se limite à de la cartographie.
Une organisation représentative du secteur VTC porte plainte Uber France et sa société sœur Hinter, qui loue aux chauffeurs des licences temporaires.
Poursuivi pour tromperie sur le potentiel de revenus des chauffeurs et sur son programme d'achat/location de véhicules, Uber signe un chèque de 20 millions de dollars.
Sur fond de médiation avec le gouvernement, une plate-forme alternative pour les chauffeurs VTC va naître à l'initiative d'une organisation représentative.
Liquidé dans des circonstances floues, Karhoo va renaître avec le soutien de Renault, qui s'intéresse à sa plate-forme centralisant les offres de taxis.
Avec en ligne de mire les autorités organisatrices des transports urbains, Uber ouvre ses données... progressivement et sélectivement.
La Caisse nationale suisse d'assurance en cas d'accidents (Suva) estime que les chauffeurs qu'Uber présente comme indépendants sont en réalité des salariés.