Télécoms : la Commission européenne moins crispée avec les équipementiers chinois
L’Union européenne met un terme à ses enquêtes sur les pratiques commerciales visant les équipementiers télécoms chinois (ZTE et Huawei).
L’Union européenne et la Chine ont trouvé un accord à l’amiable après des frictions dans le secteur des télécoms.
Le ton s’est adouci depuis mai 2013. Selon un communiqué, des échanges dans ce sens se sont tenus le 18 octobre dans le cadre de la commission permanente EU-Chine présidée par le commissaire Karel De Gucht et le ministre du Commerce Gao Hucheng.
A l’époque, la Commission européenne avait lancé deux enquêtes visant les pratiques commerciales des équipementiers télécoms chinois. Sans nommer les groupes concernés, ZTE et Huawei étaient soupçonnés d’avoir recours à des méthodes de dumping et de bénéficier de subventions d’Etat susceptibles de les aider dans leurs conquêtes de marché à l’international.
Les premières frictions ont été repérées en 2012.
Et ce, au détriment d’acteurs régionaux comme Alcatel-Lucent ou feu Nokia Siemens Networks (devenu Nokia Networks) en Europe.
Néanmoins, cet assaut avait été lancé par la Commission européenne directement sans une plainte de la part des équipementiers télécoms européens, rappelle Les Echos.
Probablement pour ne pas froisser les autorités chinoises et éviter de subir son courroux au niveau local : Ainsi, Alcatel-Lucent est présent en Chine à travers sa filiale Alcatel-Lucent Shanghai Bell (ASB), qui compte plus de 10 000 salariés.
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Utilitaire : Mais où se trouve la 4G autour de moi ? On vous aide par ici…
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