Test Canon ImageFormula P-215 : permis de scanner

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Canon P-215 scanner

ITespresso.fr a testé l’ImageFormula P-215, un scanner d’entrée de gamme que Canon destine essentiellement aux PME.

Loin de Canon l’idée d’imposer le bureau sans papier. Pour autant, la dématérialisation progressive des documents d’entreprise portent à réflexion.

Jusqu’à imposer une redéfinition stratégique qui passe par l’exercice de la numérisation, une démarche encore étrangère aux moeurs de nombre de PME, coeur de cible du P-215, un scanner que son constructeur investit d’une mission de réconciliation.

Par la voix de son Chef de Produits Christian Arthaud, la branche française de Canon, forte de 51 000 scanners écoulés en 2010, a confirmé faire des petites structures son coeur de cible, dans le cadre de cette démarche transitionnelle qu’elle estime être l’une des clés de l’informatique de demain.

De telles considérations portent à qualifier le P-215 de dispositif » semi-pro », quand bien même son constructeur se refuse à une telle dénomination.

D’autant plus qu’à ce tarif de 299 euros HT, s’adjoint une cadence moyenne de 15 pages par minute, pour un volume de numérisation typique des petites et moyennes entreprises.

A cet instar, les salariés autonomes sont concernés à plus d’un titre, tout particulièrement au vu du gabarit réduit d’un dispositif qui embarque en standard un véritable écosystème logiciel indépendant, propice à la mobilité.

Perdure toutefois une variable sur laquelle Canon n’a que modérément la main.

De la conjoncture actuelle découle un paradoxe, en l’objet d’une cohabitation entre les terminaux connectés (tablettes, smartphones) et les irréductibles supports matériels.

Le P-215 est-il à même de concilier ces intérêts a priori si divergents qu’ils s’imposent comme un dilemme, notamment pour les PME ? ITespresso.fr a tenté d’y voir plus clair.

Canon P-215 scanner

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