Test HP Mini 210-3020ef : un digne héritier
La rédaction d’ITespresso.fr a testé sous tous les angles le nouveau netbook Mini 210-3020ef de HP sous Windows 7 Starter.
Conclusion : marquer la continuité des valeurs sûres
Doit-on vraiment changer une recette qui marche ? Attendu au tournant, HP prend les mêmes, à quelques exceptions près, et recommence.
Le constructeur persiste et signe en faveur de la continuité. La famille des Mini accueille ainsi un nouveau membre qui tient beaucoup de ses aïeux.
Pour 279 euros, le Mini 210 en a sous le capot. Face à ses prédécesseurs, il gagne en vitesse ce qu’il perd en autonomie. De manière plus globale, il matérialise le paradoxe du verre à la fois moitié plein et moitié vide : il semble incapable de différencier progrès et récession.
Aussi les quelques améliorations dont le gratifie Hewlett Packard compensent-elles de nouveaux défauts non répertoriés sur les produits précédents. Ou vice-versa, selon le point de vue.
En dépit de ce constat amer, ce netbook brille par son esthétique et retient l’attention au premier coup d’oeil. Le commencement étant la moitié du tout, c’est un bon point pour le Mini 210.
Et ce ne sont pas les quelques ralentissements intempestifs qui contrediront la sensation générale de confort éprouvée à l’utilisation.
Pour peu que l’utilisateur accepte de faire fi des nuisances sonores et de ce souffle tiède émanant de la grille d’aération, il tient entre les mains un appareil prêt à l’accompagner dans ses périples les plus insolites.
Quand l’écran épargne les yeux, le clavier préserve les phalanges. La technologie Beats Audio achève alors le travail en prenant soin des oreilles.
La machine elle-même sait s’émanciper des câbles, non seulement avec une batterie dont la durée de vie atteint facilement les 5 heures, mais aussi grâce à des connexions sans fil (Bluetooth et Wi-Fi 802.11n) ultra-performantes.
Pour l’essentiel, le Mini 210 remplit son contrat, sans toutefois être exempt de reproches. Du haut de son kilo et demi, il s’adresse en priorité au grand public, les étudiants en tête.
(lire la suite du test en page 14)