Test HP Mini 210-3020ef : un digne héritier
La rédaction d’ITespresso.fr a testé sous tous les angles le nouveau netbook Mini 210-3020ef de HP sous Windows 7 Starter.
On ouvre le carton
Hormis la machine, il n’y a guère dans le carton qu’un bloc d’alimentation et son cordon à relier au secteur. Un accessoire indispensable qui brille par sa solidité apparente.
Malgré sa relative légèreté (à peine 200 grammes sur la balance), il semble paré à encaisser les impacts causés par d’éventuelles chutes.
De part et d’autre, du côté de l’ordinateur comme de la prise murale, les câbles de connexion laissent une impression similaire.
La gaine est suffisamment épaisse pour assurer un protection optimale.
Autre avantage : la longueur satisfaisante de l’ensemble, qui permet de se détacher un tant soit peu des pans de murs, en attendant l’électricité à haute tension sans fil.
HP a jugé bon d’implémenter un coude au niveau de l’embout à relier au PC. Bien lui en a pris, même si l’on regrettera une connexion non standard et un peu lâche. Il faudra toutefois forcer pour désolidariser l’ensemble par mégarde.
Légère, la batterie à 6 cellules bénéficie d’une bonne intégration à l’ensemble, bien que sa mise en place ne s’avère fastidieuse, notamment en raison de ces protubérances de plastique dur, lesquelles confèrent au module un aspect résolument cheap. La finition mériterait vraiment… une meilleure finition.
Mention mi-figue, mi-raisin pour le châssis. Compact et relativement léger (du moins dans la moyenne), il excelle de par sa modularité. Sa couleur uniforme, du gris anthracite pour le modèle testé, en fait un appareil plaisant à emporter partout avec soi.
D’autant plus que le revêtement antitraces joue parfaitement son rôle : abuser des déplacements ne lui fait pas peur et les quelques traces de sueur trépassent bien vite.
Le panneau d’affichage n’est pas parmi les plus lourds de sa catégorie et c’est tant mieux, tant les charnières gris clair inspirent peu confiance. Cèderont, cèderont pas au gré des ouvertures ? Toujours est-il que l’ensemble aurait mérité plus solide, tout du moins en apparence.
Dernier point qui fâche, le design de certains ports, intégrés non sans mal à une coque incurvée sur les côtés. Ainsi, le port VGA situé sur la gauche accuse une protubérance de plusieurs millimètres.
Sans être gênant en soi, ce défaut en appelle plutôt à un sens de l’esthétique dont on pourra toujours discuter. A ce propos, le son de cloche est identique pour les ports casque et microphone.
(lire la suite du test en page 4)