Test HP Pavilion DV6 : méfiez-vous de l’eau qui dort

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Vues rapprochées HP Pavilion DV6

Le banc de tests d’ITespresso.fr accueille le Pavilion DV6, un ordinateur portable 15,6 pouces signé HP. Il est disponible à 499 euros.

Déballage et tour du propriétaire

Sans déroger à la politique de HP, l’emballage arbore un noir ébène qui augure d’une sobriété sans faille.

Son contenu se réduit à la plus simple expression de quelques inserts cartonnés se battant en duel avec un ou deux étuis faits d’un plastique qui apporte une note industrielle à l’ensemble.

Hormis l’ordinateur et son alimentation électrique, éléments indispensables, le seul véritable extra se présente sous la forme d’un dépliant d’utilisation adjoint à des certificats de garantie multilingues voués à rester scellés sous leur pochette.

Venue l’heure de s’attaquer au gros morceau, on constate que l’effort est minime pour extraire la machine de son cocon protecteur. Et pour cause : le Pavilion DV6 brille par sa légèreté : environ 2,5 kilos batterie incluse, c’est plus que respectable pour un 15,6 pouces.

D’un noir profond ou d’un gris métallisé qui n’est pas sans rappeler l’aspect de l’acier poli, le châssis brille par son esthétisme. Le liseré blanc discrètement répété sur toute sa surface s’intègre à des formes suggestives, agréables à prendre en main.

Le dos est épuré, vierge de toute inscription parasite. Il semble immunisé face aux agressions du quotidien comme vis-à-vis des traces de doigts. En revanche, il ne résistera sans doute pas à l’éraflure d’une clé, par exemple.

Posé sur ses quatre pieds caoutchoutés, le Pavilion DV6 tient bon la barre. Il offre un degré de robustesse satifaisant, sans pour autant garantir une survie éventuelle en cas de chute.

Cette dernière impression négative se voit renforcée par cette tendance remarquée à basculer vers l’arrière dès lors que l’on ouvre l’écran d’une seule main. La fermeture est toutefois bien mieux dosée, notamment en bout de course.

Paris osé, celui des haut-parleurs frontaux, immanquables, en plein centre de l’appareil. Leur teinte gris clair tranche avec le noir prononcé de la coque, au point de focaliser systématiquement l’attention durant les premières minutes d’utilisation.

C’est tout le contraire pour ces deux grilles d’aération, bien placées sur le côté gauche et à l’arrière de la machine, loin des interfaces destinées à accueillir des périphériques.

Seul bémol, malheureusement monnaie courante un port VGA qui dépasse légèrement de son logement. Ce que compense un lecteur de disques optiques intégré avec brio.

Les quelques accessoires fournis ne sont pas plus étrangers à cette commodité qui se développe à l’usage. La batterie s’extrait et se réinsère en un clin d’œil, quand le bloc secteur bénéficie d’une connexion ferme et de câbles aussi longs que solides.

La contrepartie, une masse au-dessus de la normale et l’absence d’un coude souvent bienvenue pour dégager de la place supplémentaire sur un bureau.

HP Pavilion DV6

(lire la suite du test en page 3)

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