Sa révérence tirée sur le front des netbooks, Toshiba diversifie ses champs d’attaque et renforce son arsenal technologique au diapason du Dynabook T652, un laptop qui matérialise une conception traditionnelle des ordinateurs portables face à l’émergence des ultrabooks.
L’étendue de sa disponibilité limitée pour l’heure au Japon (avec toutefois la perspective de l’exporter jusqu’en Europe), le dernier-né de la gamme Dynabook s’affiche aux sommets de l’échelle tarifaire.
Pour 1733 dollars HT (quelque 1650 euros TTC) dans sa version de base, l’on déplorerait volontiers une résolution d’affichage cantonnée à la HD Ready, soit 1366 x 768 points, sur l’écran de 15,6 pouces à rétroéclairage LED.
L’implémentation en standard d’un processeur Intel Core i7-3610QM à 2,3 GHz sous architecture Ivy Bridge rappelle au haut standing d’une machine qui embarque par ailleurs 4 Go de RAM extensible à 16 Go, un disque dur de 750 Go et un lecteur de disques optiques compatible Blu-Ray XL.
La réelle utilité de ce dernier élément porte néanmoins à réflexion, la partie graphique étant du ressort d’une carte Nvidia Geforce 630m à 1 Go de DDR5 dédié.
Il semble pourtant que Toshiba ait globalement survitaminé cet ensemble qui dépasse les 3 centimètres d’épaisseur pour environ 2,7 kilos au compteur.
Ce sans compter un bloc secteur qui s’avèrera vraisemblablement indispensable, la durée de vie de la batterie dépassant rarement les 3 heures sur de telles configurations orientées multimédia.
Passé le Wi-Fi 802.11n et l’interface Ethernet Gigabit sur chipset Intel, le T652 dispose d’une sortie HDMI et de 4 ports USB 3.0.
L’intégration optimale de la dalle au sein du châssis permet d’en accentuer la finesse tout en laissant davantage de marge pour le clavier chiclet et les haut-parleurs stéréo situés sur le pourtour de la machine.
Le touchpad, en revanche, demeure plus ramassé, au même titre que les touches directionnelles. Un pavé numérique est disponible en option, mais rien pour garantir une véritable évolutivité, alors même que Toshiba entreprend d’investir le haut de gamme.
La transition vers l’Ivy Bridge concrétisée et le pas de la concurrence par là même emboîté, reste à jouer d’éléments différenciateurs pour s’extirper d’une mêlée de laptops de 15 à 17 pouces dont les tarifs avoisinent davantage les 500 euros, sans Blu-ray et rétroéclairage du clavier, certes.
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