Nicolas Sarkozy veut renforcer l’arsenal juridique visant à lutter contre la propagation et l’apologie d’idéologies extrémistes.
Le Président de la République (et candidat à sa ré-élection) n’a pas perdu de temps, après la mort de l’auteur présumé des assassinats de Montauban et Toulouse (qui avait été notamment pisté via l’adresse IP).
Il a annoncé une série de mesures dans ce sens, dont l’une qui porte spécifiquement sur un « délit pénal » lié à la consultation de site Web incitant à la haine.
« Désormais, toute personne qui consultera de manière habituelle des sites Internet qui font l’apologie du terrorisme ou qui appellent à la haine et à la violence sera punie pénalement », a déclaré Nicolas Sarkozy lors d’une allocution média diffusée à la mi-journée depuis l’Elysée.
Reste à savoir comment ce dispositif sera mis en place dans la loi et comment il pourra être appliqué dans la pratique.
Une mesure qui aurait été préférée à celle du filtrage pur et simple des sites Internet de propagande terroriste.
Mais on devrait en reparler car l’idée a germé dans un autre contexte.
Dans le cadre de la loi sur la sécurité intérieure (LOPPSI 2) votée le 8 février 2011 qui visait là aussi à blinder l’arsenal répressif contre la délinquance et la criminalité, une disposition permet de bloquer les sites qui diffusent des contenus pédo-pornographiques.
Elle avait été validée par le Conseil constitutionnel le 11 mars 2011.
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