225 000 développeurs conquis en un an d’exploitation : c’est le bilan affiché par Fabric.
Cette plate-forme composée de trois modules est présentée par Twitter comme un guichet unique pour stabiliser, distribuer et monétiser des applications mobiles.
Elle a fait, ce mercredi dans le cadre de la conférence Flight organisée par le réseau social, l’objet d’une mise à niveau majeure orientée notamment sur le partage de contenus, l’analyse de l’audience et le service client.
Élaboré à partir des technologies de la start-up du même nom (fondée en 2011 et acquise par Twitter en janvier 2013), le kit Crashlytics devient compatible avec iOS ainsi que tvOS, le système d’exploitation embarqué dans la nouvelle Apple.
Le principe de base ne change pas : l’outil produit des rapports détaillés sur le plantage des applications. Il reconstruit avec précision les bugs, sur la base de multiples critères : tâches en cours d’exécution, mémoire vive disponible, état du réseau, version de l’OS, niveau de charge de la batterie, orientation de l’écran, etc.
Twitter ajoute également, dans Crashlytics, une prise en charge préliminaire du kit de développement associé au moteur de jeu multiplateforme Unity.
Du côté des éditeurs, de nouvelles options sont disponibles pour insérer des tweets dans des pages Web. Non seulement via l’outil de recommandation Curator développé en interne, mais aussi grâce à des partenariats avec des sociétés comme Dataminr, Flowics et ScribbleLive, spécialisées dans l’exploitation et la modélisation de données sociales.
Autre ressource : le site Twitter Publish, conçu en l’état actuel pour créer des « grilles de tweets » regroupant images et vidéos. D’autres formats devraient être ajoutés dans les prochains temps, en lien avec Fabric.
Les marques ont également droit à une mise à jour des outils qui leur sont destinés. En premier lieu, ceux issus de l’acquisition de Gnip, société qui a archivé tous les tweets publiés depuis l’ouverture du réseau social en 2006.
Twitter a récemment ouvert l’accès à cette archive à laquelle se greffent aujourd’hui des API supplémentaires : « Engagement » pour analyser les impressions et les interactions sur des comptes donnés ; « Audience » pour définir des segments d’audience et mieux cerner leur réaction aux campagnes marketing.
Il devient par ailleurs possible d’associer, dans les principaux logiciels CRM, un compte client à son pseudo Twitter, voire à son numéro de téléphone, s’il l’a renseigné, notamment dans le cadre de l’authentification forte (mot de passe + code de vérification envoyé par SMS). Une consolidation de profil qui doit faciliter le service client.
Twitter souhaite aussi favoriser la diffusion d’informations depuis des services tiers, qu’il s’agisse d’un meilleur score sur un jeu ou d’un objectif atteint dans une application de fitness.
Pour encourager les utilisateurs à partager ces données, un système d’aperçu est mis en place afin de leur assurer un contrôle maximal sur la forme et le contenu du tweet qui sera publié.
Les développeurs pourront faire en sorte d’ajouter, sur ces tweets, un bouton qui redirigera vers l’installation de leur application.
Crédit photo : Kostenko Maxim – Shutterstock.com
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