Twitter évolue en équilibre précaire sur les marchés publics.
A 29,25 dollars en clôture ce lundi, le cours de son action sur le New York Stock Exchange est presque revenu à son niveau d’introduction du 7 novembre 2013 (26 dollars).
Une dynamique négative qui contraste avec l’embellie perçue lors du premier jour de cotation : la valeur du titre avait augmenté de 74 %, à 45,10 dollars avec, au cours de la première minute, un volume de transactions record portant sur 13 millions d’actions.
Twitter avait atteint son plus haut en Bourse le 3 janvier 2014, à 69 dollars. Depuis lors, les investisseurs ont quasi systématiquement sanctionné l’annonce des résultats trimestriels de la société Internet californienne.
Résultat net dans le rouge malgré un chiffre d’affaires en hausse, difficulté à recruter de nouveaux membres et à fidéliser la base existante… autant d’éléments qui alertent les observateurs, refroidis par ailleurs au regard des prévisions prudentes de Twitter pour l’ensemble de l’année 2015.
La publication, fin juillet, du bilan financier pour le deuxième trimestre avait semblé rassurer la Bourse. Mais le débriefing de l’équipe dirigeante lors de la conférence téléphonique avec les analystes a redistribué les cartes. Le directeur financier Anthony Noto a notamment reconnu que malgré sa notoriété, la plate-forme faisait encore débat chez de nombreux internautes concernant son utilité réelle.
Un autre événement a fait monter la température chez les investisseurs : l’annonce, le 11 juin dernier, du départ de Dick Costolo, qui occupait le poste de CEO depuis 2008 (Jack Dorsey, cofondateur de Twitter, assurer l’intérim).
Plusieurs billets d’humeur sont sortis à cette occasion, critiquant globalement la communication de Twitter et l’invitant à « remettre en question même ce qui lui paraît acquis ».
Illustration avec Chris Sacca, qui fut l’un des premiers à mettre ses billes dans la plate-forme de micro-blogging. Estimant qu’il est à l’heure actuelle « très difficile » de déterminer vers où se dirige le navire, il en appelle à une révision du fonctionnement interne, tout particulièrement autour de petites équipes.
Crédit photo : Sergey Nivens – Shutterstock.com
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