En attendant Toshiba et très certainement HP, Fujitsu sera le troisième constructeur à commercialiser un ultrabook, après Acer et Asus. Le constructeur japonais prolonge ainsi la gamme Lifebook, mais l’allège, la rend plus autonome et plus mobile, à des tarifs d’environ 3000 dollars.
Dernier nés de la maison, les SH54/E (revêtement blanc écarlate) et SH76/E (châssis noir ébène) restent dans la veine d’un concept, voire d’une folie un temps qualifiée de lubie, et dont la démocratisation s’accélère pourtant, après quelques semaines de dilettante.
Première scène d’un feuilleton parti pour s’ancrer durablement sur le terrain de l’informatique nomade, le salon IFA de Berlin avait en effet accouché d’annonces discrètes, sans étincelle, mais emprises de méfiance.
Quand Toshiba vantait à peine son Portégé, Intel se refusait à prédire un avenir doré à ses ultrabooks. Qu’à cela ne tienne, les temps ont semble-t-il changé. Fujitsu suit d’ailleurs la tendance, « tout naturellement« , selon ses dires.
Ses efforts dans le domaine se matérialisent sous la forme de deux machines d’une masse ne dépassant pas les 1,340 kg, lecteur de disques optiques inclus.
Optionnel, ce dispositif se loge dans une baie polyvalente qui pourra par ailleurs accueillir une batterie externe, pour 5 heures d’utilisation supplémentaires, portant l’autonomie à 18 heures.
Un artifice dont les anciens possesseurs d’ordinateurs portables de la gamme Apple Powerbook sont coutumiers, les performances en moins.
Passé de mode, ce subterfuge pourrait pourtant revenir à la mode avec les ultrabooks, le gabarit réduit du châssis poussant à une intégration maximale des composants, ponctuée de concessions matérielles.
Dans cette lignée, le disque SSD m-SATA (128 Go) du Lifebook SH76/E est intégré à une carte-mère dotée d’un core i5 (architecture Intel Huron River) overclockable de 2,5 à 3,2 GHz et de 4 Go de RAM extensibles au double via un deuxième slot.
Le modèle baptisé SH54/E conserve quant à lui un disque dur traditionnel de 640 Go comme média primaire de stockage.
A l’instar de son (quasi) alter ego, il embarque une dalle de 13,3 pouces en 1366 x 768, pour un rendu graphique supérieur à celui de netbooks en voie d’extinction.
En revanche, malgré 3 ports USB, un VGA, un HDMI, un RJ45 Gigabit, un lecteur de cartes multimédia, un port ExpressCard et une connectivité Wi-Fi, on l’adjoindra à un écran externe pour toute utilisation sédentaire.
Reste qu’avec leurs 18 heures d’autonomie affichées, ces deux Lifebook haut de gamme ne sont pas faits pour passer leur vie sur un bureau.
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