La France est le troisième pays en termes d’usage des QR codes derrière le Japon et la Corée.
Ce qui n’empêche pas MobileTag de poursuivre la sensibilisation des Français et des annonceurs vis-à-vis du potentiel d’exploitation de ce code barres 2D inspiré d’un système japonais.
Après avoir téléchargé une application sur son smartphone, il suffit de photographier le QR code sur les support de promotions (affichage, produits de consommation, magazines..) pour accéder à du contenu mobile à valeur ajoutée et ou pousser des opérations m-marketing.
Depuis sa création en 2006 par Domenico Surace, MobileTag a levé plus de 10 millions d’euros pour développer ce business (le deuxième tour de table s’élevait à 6,6 millions d’euros en février 2011).
La société dispose désormais d’un effectif d’une centaine de personnes entre l’Europe, les Etats-Unis et la Russie.
Début 2012, Alexis Helcmanocki a pris le relais opérationnel en prenant les fonctions de P-DG de MobileTag.
Nous l’avons rencontré sur le salon T2M, organisé cette semaine à Paris.
A la fois expert en analyses de marché et entrepreneur chevronné (avec des passages dans des sociétés comme Vitaminic, Buongiorno et des cabinets d’études comme IPSOS, GfK), Alexis Helcmanocki dresse un état des lieux du QR Code en France.
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