Esker a développé un savoir-faire dans la dématérialisation reconnue dans le monde : traitement des commandes, facturation, règlement des fournisseurs.
La société IT, créée en 1985 et basée à Lyon, dispose d’un portefeuille clients de référence qui lui permet d’asseoir sa notoriété : Whirlpool, Johnson & Johnson, Sanofi, Microsoft, BASF, Samsung, Campbell Soup…
Selon le classement Truffle 100, Esker se positionne comme le 21ème éditeur de logiciels français et 3ème en région Rhône-Alpes.
Globalement, Esker ne semble pas trop souffrir de la morosité économique globale : sur l’exercice 2011, le fournisseur de solutions IT affiche un chiffre d’affaires de 36,3 millions d’euros (+13% si l’on garde un taux de change comme critère de référence).
La conquête du marché américain (facilitée par quatre opérations de rachats de sociétés) soutient la croissance globale l’éditeur (augmentation de 19% du chiffre d’affaires réalisée au niveau local).
« Les Etats-Unis sont à la fois la zone la plus dynamique de l’entreprise, mais aussi son marché le plus important avec 42% de ses ventes », peut-on lire dans le CP.
La France représente encore 34% de l’activité d’Esker.
Parallèlement, le résultat d’exploitation a doublé pour atteindre 3,8 millions d’euros. Le résultat net progresse bien à 2,64 millions d’euros (+40%).
Dans le cadre du salon Documation 2012, nous avons rencontré Emmanuel Olivier, Directeur général monde d’Esker (Chief Operating Officer).
Il apporte des précisions sur le business réalisé dans le cloud (48% du CA global) et l’accord qui a été signé en France avec Cegid en matière de dématérialisation (un accord fournisseur de solutions mais aussi un partenariat commercial).
Consultez l’entretien vidéo et le panorama des activités d’Esker ci-dessous :
Esker : ce qu’il faut retenir
Positionnement | Automatisation des processus documentaires, dématérialisation des documents de gestion. |
Principales étapes : | – Période 1985 – 2000 : lancement d’un des premiers émulateurs de terminal – A partir de 2000 : virage vers le marché de la dématérialisation – A partir de 2004 : cap sur le SaaS et le cloud |
Nombre de clients | 80 000 entreprises dans le monde (Adecco, EDF, Entremont, Flammarion, Lafarge, Manpower, Thomson Reuters, Samsung ou encore Whirlpool…), dont 20 000 en France. |
Couverture | Amérique du Nord, Europe et Asie/Pacifique |
Effectif | 265 collaborateurs dans le monde (25 % des effectifs dédiés à la R&D) |
Cotation | NYSE Alternext à Paris (année d’introduction en Bourse : 1997) |
Principales « offres-as-a-service » | – Software as a Service (SaaS) : solutions d’automatisation des processus (commandes, factures clients, factures fournisseurs) service courrier en ligne FlyDoc; – Ressources Infrastructure as a Service (IaaS) : 2 data centers (France, Etats-Unis) 6 centres de production Courrier et 3 centres de production Fax (Etats-Unis, France, Australie, Espagne, Singapour et Royaume-Uni); – Platform as a Service (PaaS) : un environnement de développement d’applications de dématérialisation |
Partenaires stratégiques | SAP, Microsoft, Cegid |
Volume de documents par mois traités et dématérialisés | 6 millions |
Source : société (tableau Itespresso.fr)
Crédit photo illustration : © Pavel Ignatov – Fotolia.com
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