Ainsi donc le voilà, le premier « vrai » virus pour Palm OS. A la différence de Palm Liberty (voir édition du 29 août 2000) qui n’était « qu’un » cheval de Troie, les principaux éditeurs d’antivirus signalent la détection de « Phage », un vrai virus qui détruit les applications stockées dans son Palm. La différence avec un cheval de Troie ? Un virus s’auto-duplique et infecte tout ce qui se trouve à sa portée. Et c’est ce que fait « Phage ». Pour le moment, il n’est pas vraiment considéré comme très dangereux puisque très facilement détectable. De plus, il suffit de resynchroniser son Palm pour restaurer les programmes installés.
L’existence de virus sur le Palm tient à sa popularité. Utilisé par des millions de personnes, il devient une cible de choix pour les créateurs de virus… et une nouvelle manne pour les éditeurs. Et ces derniers ne s’y trompent pas. Depuis quelques semaines, Symantec distribue gratuitement la version bêta de son antivirus pour Palm. Fonctionnant sur le même principe de reconnaissance de signatures virales que son homologue pour PC ou Mac, il n’en répertorie donc, pour l’instant, que deux. McAfee, de son côté, a lancé une gamme d’antivirus pour les trois principaux systèmes d’exploitation des ordinateurs de poche : Palm, Windows CE et Epoc 32 (Psion).
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