Sept mois tout rond se sont écoulés depuis que Visa et MasterCard ont instauré un embargo financier à l’encontre de WikiLeaks.
Sous la pression des Etats-Unis, l’objectif était de couper les sources de financement de l’organisation de Julian Assange qui prône « un monde plus transparent ».
Depuis hier, ce « blocus » serait levé, selon un communiqué de DataCell.
En effet, la prestataire IT islandais en charge de la procédure de collecte des paiements en ligne en faveur de WikiLeaks déclare qu’il est à nouveau possible d’enregistrer et de finaliser les donations réalisées en ligne pour le compte de l’organisation.
Les cartes émises par Visa et MasterCard sont de nouveau acceptées.
Il aura fallu passer par des menaces d’actions en justice devant la Commission européenne ou des juridictions islandaises et danoises pour que l’affaire se décante.
Dans une lettre datée du 9 juin dernier, DataCell avait fait part à Visa et Mastercard de son intention de porter plainte pour comportement illicite.
Les deux sociétés de paiements en ligne n’avaient ni donné réponse à cette injonction, ni signe de vie à Wikileaks.
La donne s’inverse désormais. DataCell se félicite d’ailleurs de « la volonté affichée par Visa et Mastercard d’accéder à [cette] demande de rétablir les opérations de règlement« .
En l’attente d’une conciliation entre les deux parties, Wikileaks estime toutefois que le manque à gagner consécutif à cet embargo s’élèverait à 130 000 euros par jour, soit près de 30 millions d’euros en sept mois.
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