Ubisoft vit un drôle d’anniversaire pour ses 30 ans, sur fond de lutte d’influence dans le capital. Lundi (7 novembre), Vivendi a annoncé qu’il avait franchi un nouveau palier en détenant 24,059% du capital et 21,296% des droits de vote du numéro trois mondial des jeux vidéo.
Le groupe médias et divertissement de Vincent Bolloré conforte sa position de premier actionnaire d’Ubisoft alors que la famille Guillemot, fondatrice de la société, s’y oppose. Celle-ci détient 13% des parts de la société.
Dans la même journée, le P-DG Yves Guillemot réaffirmait devant la presse sa volonté de préserver l’indépendance de sa société face à Vivendi, qui n’est « pas du tout dans une attitude amicale » selon Le Figaro.
Alors que Vivendi s’est emparé de Gameloft (l’autre joyau historique de la famille Guillemot dédié aux jeux sur mobile), Ubisoft compte renforcer son emprise sur ce segment pour contre-balancer.
A la rentrée, Ubisoft a annoncé le rachat du studio français KetchApp. D’autres opérations de croissance externe sont prévues. Ubisoft se déclare prêt à lâcher entre 50 et 100 millions d’euros par rachat si besoin est.
Actuellement, les jeux pour terminaux mobiles ne représentent que 5% du chiffre d’affaires de l’éditeur de jeux vidéo connu pour des franchises comme Les Lapins Crétins, WatchDogs ou Assassin’s Creed.
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