Du lancement de Secure State pour détecter les problèmes de conformité sur Azure à la mise à jour de Wavefront avec des outils d’instrumentation pour AWS en passant par l’acquisition d’un spécialiste de l’automatisation, le VMworld organisé la semaine passée à Las Vegas a été riche en annonces sur le volet cloud.
En la matière, l’offre de VMware s’est aussi élargie avec du SaaS. En l’occurrence, la gamme « Cloud Automation Services », qui regroupe trois composantes pour le moment indissociables : Cloud Assembly, Service Broker et Code Stream.
Le premier, positionné dans la lignée de l’outil vRealize Automation exploitable sur site, propose des fonctions d’orchestration multicloud (AWS, Azure, VMware Cloud sur AWS, vSphere, NSX-T et NSX-V).
Les ressources – découvertes automatiquement ou ajoutées manuellement – peuvent être agrégées en des « zones ». Par défaut, ces dernières sont basées, dans le cas des fournisseurs de cloud public, sur les zones de disponibilité. Un système de tags permet de leur attribuer des propriétés que le moteur d’orchestration utilisera pour optimiser la distribution des charges de travail.
À ces « zones », on associe des utilisateurs, moyennant la création de projets. Comme sur vRealize Automation, la démarche se fonde sur des « blueprints ». Ces conteneurs, modifiables par interface graphique ou en éditeur de code, définissent la topologie de déploiement des applications et services.
Service Broker permet d’agréger ces blueprints (ainsi que des modèles AWS CloudFormation), puis de leur affecter des politiques avant leur déploiement sur les clouds associés aux projets.
Code Stream est pour sa part censé optimiser le processus DevOps, en lien avec des outils populaires (Git, Jenkins, Bugzilla, Kubernetes…). Il est connecté à Cloud Assembly.
L’ensemble du portefeuille Cloud Automation Services est pour l’heure hébergé exclusivement aux États-Unis. Le ticket d’entrée est fixé à 13,95 dollars par mois et par nœud (instance + VM) pour un contrat de trois ans. On passe à 17,95 dollars pour un an et 25,95 dollars sans engagement.
Equipés de NPU, les PC Copilot+ peuvent déployer des LLM en local. Un argument suffisant…
Que vous soyez un novice dans le domaine informatique, ou avec un profil plus expérimenté,…
Les attaques de phishing utilisant des QR codes frauduleux intégrés dans des documents PDF joints…
Microsoft a amorcé le déploiement de Windows 11 24H2. Passage en revue des nouvelles fonctionnalités…
L'intégration de Copilot dans la suite bureautique s'accélère. Où trouver l'assistant IA et comment l'utiliser…
Microsoft annonce une phase expérimentale pour lancer Recall sur les PC Copilot+. Elle doit commencer…