Après avoir constaté une « attaque extérieure » liée au scrutin par vote électronique en vue de l’élection de son président, l’UMP a décidé de porter plainte. Luc Chatel, secrétaire général du parti, l’a annoncé samedi matin. Il estime qu’il s’agit d’une « cyber-attaque« .
Depuis l’ouverture du scrutin vendredi soir, le site Interrnet, mis à disposition des adhérents UMP pour voter en ligne, a connu des anomalies.
L’accessibilité difficile a eu pour effet « de ralentir l’accès au site du vote » hier soir, estime l’équipe en charge de la communication au sein de l’UMP. Il fallait parfois plusieurs heures pour parvenir à cet objectif.
Hervé Mariton, l’un des candidats à la présidence de l’UMP, déclare de na pas connaître l’ampleur de cette attaque via Internet.
« A la suite des attaques extérieures dont le site de vote a été l’objet hier soir, vendredi 28 novembre, des dispositifs ont été déployés afin de garantir que les adhérents continuent de voter en toute sécurité », assure l’UMP.
« Ces dispositifs sont efficaces », prétend la direction du parti. Mais les votants peuvent rester parfois perplexes. « Toutefois ils sont susceptibles de générer un message ‘vote impossible’ après la validation du vote. La question est en cours de résolution. Ce message ne change rien au vote qui est correctement validé. »
En effectuant un pointage samedi midi, la Haute Autorité de l’Union, qui supervise la procédure d’élection au sein du parti, a considéré qu’elle n’avait pas constaté « d’attaque ou d’anomalie significative » depuis les incidents recensés la veille.
Le site Internet, par lequel le vote s’effectue, est exploité par la société Paragon Elections (spécialiste dans les systèmes de vote en ligne) et il est hébergé chez OVH. Contacté par ITespresso.fr vendredi soir, ce dernier ne fait aucun commentaire sur les anomalies recensées.
(Crédit photo : Shutterstock.com – Droit d’auteur : Adstock)
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