Presque cinq ans après sa création, Netvibes aurait atteint le seuil de la rentabilité.
Installé aux Etats-Unis, Freddy Mini, P-DG de la start-up française qui développe des portails personnalisés en travaillant avec les widgets et les flux RSS, vient de déposer une contribution dans ce sens sur le blog de la société.
Il avait remplacé le fondateur Tariq Krim à ce poste en mai 2008.
Netvibes a conservé son produit historique (page d’accueil personnalisable) mais la jeune pousse a progressivement fait évoluer son positionnement en devenant une plate-forme de distribution de widgets ou d’applications hébergées pour le compte de tiers : portails médias, briques pour les intranets d’entreprises, couche Web 2.0 pour des solutions d’éditeurs de logiciels comme Sage…
TechCrunch a obtenu des informations en plus : la société dispose maintenant d’une quarantaine d’employés sur ses deux bureaux (San Francisco et Paris).
Sans révéler ses résultats financiers, Netvibes précise qu’elle tire 50% de ses revenus à partir de ses outils à destination des entreprises (50%), 40% émanent des versions premium de ses tableaux de bord et 10% de la distribution de widgets.
Sur le front des produits, Netvibes avait présenté la nouvelle version de sa plate-forme dashboard (nom de code Wasabi) à l’occasion de la dernière session LeWeb organisée à Paris en décembre 2009.
« En avril, nous dévoilerons de nouvelles expériences à la fois pour les utilisateurs individuels et nos clients entreprises », promet Freddy Mini.
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