Les applications en ligne remplaceront à terme les logiciels installés sur ordinateurs. C’est ce qu’a prédit l’éditeur Adobe, lors du Web 2.0 Summit organisé la semaine dernière à San Francisco. « L’avenir de la distribution des logiciels suivra le modèle du Software as a service [les logiciels sont hébergés sur un serveur et non plus installés sur disque dur, ndlr] », a déclaré Bruce Chizen, CEO d’Adobe, qui est intervenu au cours de ce séminaire. « La question est de savoir combien de temps cela va prendre. »
En mars dernier, Adobe révélait son projet de décliner son logiciel phare Photoshop (retouche photos) en service en ligne. Un tel revirement s’explique par l’intention de la part d’Adobe de cibler une audience réticente à l’idée de payer plus de 1000 euros pour la version complète d’Adobe Photoshop CS3 ou près de 300 euros pour une mise à jour. L’entreprise essaie aussi de trouver une solution au piratage et à la copie illégale.
Les applications en ligne remplaceront à terme les logiciels installés sur ordinateurs. C’est ce qu’a prédit l’éditeur Adobe, lors du Web 2.0 Summit organisé la semaine dernière à San Francisco. « L’avenir de la distribution des logiciels suivra le modèle du Software as a service [les logiciels sont hébergés sur un serveur et non plus installés sur disque dur, ndlr] », a déclaré Bruce Chizen, CEO d’Adobe, qui est intervenu au cours de ce séminaire. « La question est de savoir combien de temps cela va prendre. »
En mars dernier, Adobe révélait son projet de décliner son logiciel phare Photoshop (retouche photos) en service en ligne. Un tel revirement s’explique par l’intention de la part d’Adobe de cibler une audience réticente à l’idée de payer plus de 1000 euros pour la version complète d’Adobe Photoshop CS3 ou près de 300 euros pour une mise à jour. L’entreprise essaie aussi de trouver une solution au piratage et à la copie illégale.
Une bascule complète dans dix ans ?
Si Adobe accepte de rendre ces logiciels gratuits en ligne, la contrepartie est que l’internaute accepte une dose de publicité en ligne. Bruce Chizen évoque aussi une possibilité de passer par un abonnement. La transition ne se fera pas de façon radicale. Les deux modèles (service gratuit et sous abonnement) subsisteront car certains professionnels seront toujours prêts à payer le logiciel au prix fort afin d’éviter la publicité.
La migration complète de l’hébergement des applications installés traditionnellement sur le disque dur d’un PC vers le Net ne devrait cependant pas intervenir avant dix ans, en ce qui concerne Adobe. Bruce Chizen estimant que la répartition inégale du haut débit – en particulier aux Etats-Unis – limitait le travail pouvant être réalisé en ligne.
Retrouvez tous les articles liés au Web 2.0 Summit sur Vnunet.fr
Equipés de NPU, les PC Copilot+ peuvent déployer des LLM en local. Un argument suffisant…
Que vous soyez un novice dans le domaine informatique, ou avec un profil plus expérimenté,…
Les attaques de phishing utilisant des QR codes frauduleux intégrés dans des documents PDF joints…
Microsoft a amorcé le déploiement de Windows 11 24H2. Passage en revue des nouvelles fonctionnalités…
L'intégration de Copilot dans la suite bureautique s'accélère. Où trouver l'assistant IA et comment l'utiliser…
Microsoft annonce une phase expérimentale pour lancer Recall sur les PC Copilot+. Elle doit commencer…